Maylis poiget Book

Page 1

book.indd 1

14/03/2018 08:45:26


1-8 21-22 9-20 23 - 26 book.indd 2

Croquis Fondamentaux

Charadesign - Paysage

Storyboard

Module de CrĂŠation bidimensionel

14/03/2018 08:45:29


27- 30 29-56 57-60 book.indd 3

Infographie

Arts PLastiques

Photographie

14/03/2018 08:45:34


1 book.indd 4

14/03/2018 08:45:42


2 book.indd 5

14/03/2018 08:45:47


3

book.indd 6

14/03/2018 08:45:55


4

book.indd 7

14/03/2018 08:46:00


5

book.indd 8

14/03/2018 08:46:09


6

book.indd 9

14/03/2018 08:46:11


7 book.indd 10

14/03/2018 08:46:16


8 book.indd 11

14/03/2018 08:46:18


9 book.indd 12

14/03/2018 08:46:26


10 book.indd 13

14/03/2018 08:46:31


11 book.indd 14

14/03/2018 08:46:39


12

book.indd 15

14/03/2018 08:46:44


13

book.indd 16

14/03/2018 08:46:51


14

book.indd 17

14/03/2018 08:46:53


15

book.indd 18

14/03/2018 08:46:59


16

book.indd 19

14/03/2018 08:47:01


17

book.indd 20

14/03/2018 08:47:07


18

book.indd 21

14/03/2018 08:47:09


19

book.indd 22

14/03/2018 08:47:16


20

book.indd 23

14/03/2018 08:47:18


21

book.indd 24

14/03/2018 08:47:23


Story board

Scèanrio de L’Exorciste par William Peter Blatty.

22

book.indd 25

14/03/2018 08:47:25


23

book.indd 26

14/03/2018 08:47:31


24

book.indd 27

14/03/2018 08:47:33


25

book.indd 28

14/03/2018 08:47:40


26

book.indd 29

14/03/2018 08:47:42


27

book.indd 30

14/03/2018 08:47:45


28

book.indd 31

14/03/2018 08:47:46


WORKSHOP

LA CAMBRE BRUXELLES Ecole nationale supérieure des arts visuels ////// Chants Polyphonique et Paysage Polmorphe

29

book.indd 32

14/03/2018 08:47:48


30

book.indd 33

14/03/2018 08:47:49


Rocked by an eroded lullaby Comment créer dans un espace fermée un rapport intime entre spectateur et dispositif. Le projet fut de créer une installation à partir d’instruments sculptés et d’une vidéo performance. Dans laquelle, Laurence Felici, musicienne violoniste et enseignante joue de ces instruments, ainsi que de la guitare tout en chantant la berceuse « Ciuccarella » de Tino Rossi. La video se compose en trois parties.

Le projet est présenté dans une salle vide, à demi clos. Dans la pénombre les instruments sont posés au sol pour inciter le spectateur à s’en approcher. Le choix de la grande échelle de la projection est faite pour englober le spectateur par la lumière, l’image +et le son. Dans la salle, le spectateur est libre de déambuler et d’inspecter les instruments.

31

book.indd 34

14/03/2018 08:47:54


32

book.indd 35

14/03/2018 08:47:56


Parfois,c’est dans le monde défendu qu’il m’était le plus agréable de vivre.

33

book.indd 36

14/03/2018 08:48:02


34

book.indd 37

14/03/2018 08:48:12


A travers la question du clair obscur, le projet est travaillé sur un support transparent pour laisser passer la lumiere. Ce travail est une citation au roman de Herman Hesse «Demian». Il reprend les pièces

de vie commune, mélange entre lumière et pénombre. Il s’agit d’une suite de décors réalisés sur rodhoïd grattés et travaillés au chiffon à l’encre de chine.

35

book.indd 38

14/03/2018 08:48:22


36

book.indd 39

14/03/2018 08:48:24


37

book.indd 40

14/03/2018 08:48:27


38

book.indd 41

14/03/2018 08:48:29


CULTE Apotropaïque, se réfère aux objets conjurant les mauvais sorts. Ce projet prend la forme d’un costume inspiré du chamanisme. Le visage recouvert, les yeux aveugle.Il s’agit de la création d’un personnage fictif sortant de la mythologie. Une narration et un monde fictif s’ouvre au spectateur. Il s’agit d’un masque composé d’une auréole, une couronne de corail rouge, sur le devant du masque se place trois mains cachant le visage. Ces mains sont des moulages en plâtre sur modèle vivant. Elle furent pigmenté pour leur rendre un aspect réelle. Le voile est un drapé recouvrant le corps du modèle.

39 book.indd 42

14/03/2018 08:48:45


40 book.indd 43

14/03/2018 08:48:48


41 book.indd 44

14/03/2018 08:48:49


42 book.indd 45

14/03/2018 08:48:49


Effet de nuit Comment recréer une fantasmagorie par la déambulation entre ombre et lumière. C­e projet est en filiation avec les tableaux de Jérôme Bosh et plus exactement ces monstres. À travers un travail sur les ombres portées je pose la question de l’ombre et de la lumière, une notion omniprésent dans le tableau de Bosch. En lien avec le scénario de l’allégorie de la caverne de platon , je place le spectateur en situation du prisonnier. ce projet met en place un envers du décors et incite le spectateur à se faire une image mentale. Sur une façade, sont

projetées des ombres, elles s’inscrivent dans un travail hybridant les ombres à une architecture et des objets hétéroclites. Ce projet est retranscrit en vidéo, un fond sonore va apporté une nouvelle dimension et plus de présence aux ombres.

43 book.indd 46

14/03/2018 08:49:08


44 book.indd 47

14/03/2018 08:49:10


Métamorphose 45 book.indd 48

14/03/2018 08:49:11


46 book.indd 49

14/03/2018 08:49:12


Comment l’hybridation défomre le corps. Ce travail est une série de trois sculptures. C’est un travail de modelage dans l’argile et d’assemblage de matériaux ,Ces sculptures relatent trois aspects de la métamorphose, le côté culturel, Le côté scientifique et le coté physique. Elles représentent des modèles réduit de cranes humain. Le côté culturel fait référence au rituel et culte africain. Une hybridation avec un masque africain. Le coté scientifique rappel les expériences médicales, les prothèses rajoutées au corps. Quant a la partie physique, elle exprime une dualitée et une opposition entre deux aspects physiques causés par les expressions de notre visage. Le visage est figé comme pour un masque mortuaire, révélant un rictus, une grimace. C’est un travail de fragmentation du corps. La série est présentée sur des anciens portes éprouvettes un aspect médical du XVIII, cabiné de curiosité.

47 book.indd 50

14/03/2018 08:49:31


48 book.indd 51

14/03/2018 08:49:32


N’y a t’il personne?

49 book.indd 52

14/03/2018 08:49:32


50 book.indd 53

14/03/2018 08:49:33


Comment le corps va se déplacer, bouger dans un espace restreint. Il s’agit d’une installation pénétrable où le corps du spectateur va entrer en action. Il n’est pas contraint dans ces mouvements, son passage est libre. Suspendu à environ deux mètres du sol, la structure du cadre définissant l’espace du dispositif tombe en bande transparente. Sur ces rideaux de plastique est projeté une vidéo d’une silhouette marchant. Elle est in-identifiable, elle apparaît comme une ombre. Lorsque le spectateur est engagé dans l’installation, il apperçois la silhouette avancer vers lui, mais il ne la rencontrera jamais physiquement. La vidéo est accompagnée

d’un fond sonore des bruits de pas amplifiés. Les sens sont éveillés, la vison, le touché et l’ouïe. Le spectateur, n’est plus seul dans l’installation. «N’y a t’il personne?» Chaine youtube: Prépa Sartène

51 book.indd 54

14/03/2018 08:49:41


52 book.indd 55

14/03/2018 08:49:48


Devoir de mĂŠmoire

53 book.indd 56

14/03/2018 08:49:49


54 book.indd 57

14/03/2018 08:49:49


J’ai travaillé sur le camp de concentration, Ravensbrück. Les détenues y perdaient leur humanité. Ce projet est une installation composée de plusieurs robes faisant échos aux tenues des déportées. La perte d’identité ,L’oubli, ces robes sont dénuées de corps et sont transparentes. Bien que les robes soient présentes, elles révèlent un vide. La répétition du motif caractéristique des tenues symbolise l’uniformité et l’incapacité à ce démarquer. Un buste faisant office de squelette en fil de fer les maintiens. Cette série est un dispositif mis en scène dans l’espace. C’est une installation In situ, elle est dans

une cage d’escalier pourvus d’une grille qui rappel la montée à l’échafaud et symbolise l’enfermement. Les robes sont alignées et flottent au dessus des marches comme des esprits. Cette mise en scène créer une narration entre le dispositif et le spectateur entrant en action, pouvant circuler entre les robes. Cette liberté de passage va créer un dialogue entre les robes à échelle humaine et le spectateur et introduit l’idée du corps individuel et du corps collectif.

55

book.indd 58

14/03/2018 08:50:00


56 book.indd 59

14/03/2018 08:50:02


Photo Roman

La place

SYNOPSIS: Sur une place publique, une jeune femme, casque sur les oreilles, ne voit pas le temps passer. Celle-ci, commence à ce sentir observé et pourtant ne voit rien. Lorsqu’elle décide de partir, cette dernière ce retrouve dans l’incapacité de quitter cette place. 57 book.indd 60

14/03/2018 08:50:06


«La place - Maylis Poiget» chaine youtube: Prépa Sartène

58 book.indd 61

14/03/2018 08:50:50


59 book.indd 62

14/03/2018 08:51:01


60 book.indd 63

14/03/2018 08:51:19


2017-2018

maylis.poiget@Gmail.com

book.indd 64

CPES CAAP Sartène 14/03/2018 08:51:22


Issuu converts static files into: digital portfolios, online yearbooks, online catalogs, digital photo albums and more. Sign up and create your flipbook.