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nous disent tandis
qu'alors
les villages
que les habitations,
pour protéger
des félins
à un point
tel
tallées
dans les
habitations
une place
pour danser.
de repli,
préjudiciable
riences
de contacts
tinction
physique
entre
Emerillon p.
est
femmes et les
enfants.
La vie
sociale
était
jarres,
étaient
ins-
auges à cachiri,
ne fait
pourtant
les
contribua Signalons
et simple. l'objet
d'actives
trouvé
en ce lieu
étaient
que cette
mais tirée à sauver
faites
assistance
attitude
des expé-
l'ethnie
que la région
prospections
exploitation
là pour le prouver
pas de doute
culturelle,
du XIXe siècle,
mais au contraire
dans la forêt,
pilotis,
à la richesse
les Wayapi n'auraient
enserrés
et que bien peu de communautés possédaient
Il
pure
petits, sur leurs
que les
1910 et 1940 fut
taire,
étaient
haut-perchées les
réduite
-
de l'ex-
du moyen Oyapock
aurifères
et que
ni matérielle
et maladies.
Le
(HURAlJLT,.l963,
p.
ni sani-
cas bien connu des
140 ; DEMAN, 1977,
12-13). J'ai
aujourd'hui
époque que les Wayapi, le plus
faible
précédente,
pris
les
cette
atteignent
leur
chiffre
ensemble,
En dépit
d'apports
venus des sources
à la période
deux groupes
locaux
de 1'0yapockjdirigés
par les
ne doivent
au début
du siècle
épidémies
du XIXe siècle
de Sapat3
pas excéder
étaient
se divisèrent
seul
respectivement
ensuite et celle
de l'oyapock,
formé qu'un
semble moins mauvaise
de Alamasisi,
sur le Waseypl"i
très
groupe
chefs
50 personnes.
la situation
sous la chefferie
une des deux sources
deux chefs
vers
dans leur
A la source,
sent n'avoir
que c'est
de population.
S"atZ et Walapa,
celle
la conviction
le fils
en trois
de Ilu?ay
proches
local
les
survivants
des
communautés
du frère
:
sur la Salamandre,
géographiquement,
en relations
; réunis
parais-
constantes.
d'Alamasisi
Leurs
et son