Ainsi parlaient nos ancêtres : essai d'éthnohistoire "Wayapi"

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(Norak,

-

Guyane au XVIIe

siècle

anthropophages

par les Pères GRILLET et BECHAMEL (1674).

Reste qu'en

dépit

tait

moribonde

Akokwa,

à aborder

de l'affirmation dès la fin

l'abandon

du XVIIIe

tous

de cette

siècle

des propos

humaine

dans sa jeunesse".

La raison

nous est

fournie

Jean de LERY écrit,

à plusieurs

les Portugais ment virent

achetaient le danger

celuy

que s'en

: car depuis

fera

qui

est venu par deça,

de Maranhao

p. 360).

des chroni-

que les Français

aux Tupinamba.

les me vendit,

Ceux-ci

et

rapide-

ie ne scay d'oresenavant

que Paycolas

(entendant

nous ne mangeons pas la moitié

C'est

une situation

décrit

Claude

Villegagnon) de nos ennemis",

en ont grande

çais

traitent

d'ABBEVILLE

ses conséquences

chez les

compassion , et quand ils

_ rudement

A la fin des esclaves Rois de Portugal

permettant

similaire,avec

Tupinamba

de la

:

"Ils

"Les

qui préten-

p. 210).

traumatisantes,que

à ce problème

écrits

C'est

en 1890,

(1893,

par les

é-

:

" Car disoit

(1570,

du XIXe.

centenaire"

reprises,

des prisonniers

Se pense

de COUDREAU, qui,

mangé de la chair

dit

comme

la pratique

ou le début

presque

sur la WaipskDle

"avoir

cités

coutume.

un "vieillard

rencontra

baie

sont

de Pawe sur sa grand-mère,

du moins ce que je peux déduire

queurs.

Piriu)

néanmoins

les

leurs,

ils

voyent

que les Fran-

en pleurent"

(ibd.

1613).

portugaise

donna

du XVIIe

siècle,

la politique

indiens

un tour

particulier

ont fait

depuis

cesser

d'acheter

des Indiens

: ce brigandage, qui

auraient

en

été pris


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