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Les meilleurs
défenseurs
des villages
étaient
Lors
d'une
attaque
chez les
l'api7?y,
P&kg explique
- "Mais
ils
étaient
avec leurs
chiens,
tu sais
&tres
s'enfuirent
chiens(').
Plus
-
loin
encore
une fois,
les :
:
! Et nos an-
te dis-je'!
: - '1 3.. mais les filaient
maintenant
nos ancêtres enfin
chiens
ils
étaient
; hai,
à entrer
vraiment
hai,
hai
très
grands
! et ils
dans le creux
d'un
; ils
forcèrent
tronc
un de
d'arbre,
l'acculèrent..." L'autre
protection
était
constituée'
par des plaques
d'écorce
/waypspi/(2)
épaisse
et ne brûlant
pas sous les 'flèches
en-
flanrmées.
Ces plaques
étaient
attachées
le toit
des
maisons Lors
à étage
et permettaient
de son voyàge
sur
aux villageois
de 1832, ADAM DE BAk
l'existence
d'un village
palissadé,
à rattacher
à la présence
des fugitifs
et le flanc
de se retrancher.
signale
technique
aussi
(1834,
sans doute
brésiliens
p. 33)
exceptionnelle,
avec qui
les Wayapi
étaient alors en guerre. _---------_-------_----
.
(1) Les Indiens
Emerillon
disent
pour sentir
ennemis.
On préparait
cendres
les
de têtes
avoir
dressé pour
de serpents
mêlées de celles
non identifié
poussant
spécialement
cela
les chiens
une bouillie
de moules
faite
d'eau
(NAVET, 1974) . (2) Grand arbre du pays wayãpi.
sur le versant
.
amazonien
douce
des
'.
_