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succéda un casse-tête
Au /sawalapa/ laire
fait
était
équipé
-
en bois
d'arc
de six
court
ou de balata
de ces armes,
(wirlasï)
à section
(Manilkara
spp.).
deux pendant
triangu-
Chaque guerrier
sur la poitrine,
deux
sur le dos et un sous chaque aisselle. machettes
Au XIXe siècle, de plus
en plus
les Tapi%y,
en complément
Sa7i P&Kc cite
/amilik?
saa/,
"machette
précise
(1893,
p. 38) qu'il
et couteaux
des casse-têtes. les
/alala
s?ngE/,
américaine".
Dans la guerre
contre
"becs
ou
de ara"
Sous ce dernier
s'agissait
d'un
intervinrent
nom, COUDKEAU
objet
de traite
apprécié
des combats,
le reste
de l'équipe-
en Guyane. Selon ment variait.
la tactique
Si les
guerriers
ne voulaient
ils
portaient
une cape (apela)
et des esprits, de colin
de Guyane (Odontophorus
grouper
ou se reconnaître
lement,
ils
blanchâtres
des palmes
de /Kuluwa/
tressé
en palmes qui
deux écussons, de /pin-J/
servaient
saient
également
(Attalea
de protection
(Oenocarpus
bacaba
et
les
vocale
de ralliement.
En temps de paix,
fauve
(Cebus apella)
qui
(Crypturellus
SP.).
c'était
celui
flèches.
d'un
était
de l'oiseau
(et
les Wayapi utilidans leurs
et cris
en temps de guerre,
Un équipement (Walakapa)‘
offensive sajou
folioles
dorsal
: langage
singe
un combat de harcè-
de cet équipement,
pour prévenir
se re-
l'autre
guerrières
sifflé
voulaient
Spectabilis).
contre
abondamment l'expression
de peaux collées
) dans les jeunes
ventral,
ou de /patawa/
En complément
faite
pendant
(samelc
l'un
vus des hommes
; s'ils
dans l'obscurité des couronnes
commun était
O.batawa)
guianensis)
tressaient
plus
pas être
danger
tactiques
ou lancer
c'était
une
le cri
reste
encore)
tinamou
/suwilyly/
utilisé
du ;