Mensuel de l’Armée du Salut - 128e année - N° 6 - 2018
Société
Le spectacle à tout prix Sébastien Goetschmann
Matchs truqués, dopage, corruption, insultes racistes ou homophobes, chantage, prostitution, détournement de mineurs, les scandales qui éclaboussent le monde du ballon rond se multiplient ces dernières années. Alors que la Coupe du monde de football 2018 débute le 14 juin en Russie, le sport numéro un ne se présente pas sous son meilleur jour.
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t pourtant, rien de plus normal dans le fond, puisque le sport en général et tout particulièrement le football, le plus populaire et le plus international de tous, n’est que le reflet de la société dans laquelle nous vivons. Selon de nombreux sociologues et anthropologues, il s’agit même d’un « f ait social total », c’est-à-dire un phénomène « où s’expriment à la fois et d’un coup toutes les institutions » de la société, selon la définition énoncée par Mauss. ¹ Le football, du moins professionnel et de haut niveau dont nous allons traiter dans le reste de l’article, fait intervenir des phénomènes à la fois juridiques, économiques, culturels, sociaux, technologiques, religieux, et même esthétiques … Le prix du spectacle Le football est devenu un hyperspectacle. Il n’y a qu’à se pencher sur les audiences des dernières Coupes du
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Le football est un des rares sports à pouvoir mobiliser d’importantes foules provenant de tous les milieux socio-culturels
monde pour s’en rendre compte. 3,2 milliards de téléspectateurs derrière leurs écrans en 2014.* Ce sport-spectacle est entré dans l’économie de marché, l’organisation de compétitions influence le développement d’infrastructures
(les stades, mais aussi leur accès en transports publics), les salaires des meilleurs joueurs sont faramineux, les droits de retransmissions TV prennent l’ascenseur. Cette marchandisation du football est la parfaite expression de page 2
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société
l’expansion néo-libérale de notre société capitaliste. Le spectateur, lui, devient de plus en plus un simple consommateur. Face à cette pression financière, les clubs et les joueurs de haut niveau se doivent d’assurer le show. Un idéal perdu Mais où est donc passé l’idéal olympique ? La question mérite d’être posée. Le second principe fondamental en exprime ainsi l’objectif : « mettre partout le sport au service du développement
harmonieux de l’homme, en vue d’encourager l’établissement d’une société pacifique, soucieuse de préserver la dignité humaine. » ² Bien que le sport moderne découle de l’idéal démocratique : la codification de sa pratique, les règles auxquels les participants doivent se plier, les poules et les groupes des compétitions internationales qui permettent de ne faire s’affronter que des adversaires « de valeur égale », tout cela implique que le vainqueur sera le plus méritant. « Le sport exalte une méritocratie qui fait la part belle au champion. Mais cette méritocratie suggère en elle-même sa transparence, sa traçabilité », explique la philosophe Isabelle Queval. ³ Et c’est peut-être bien là que le problème se situe, car malgré les contrôles antidopage et les audits comptables
et financiers, le sport n’est que rarement totalement transparent. Ajoutez à cela la surcharge des calendriers d’un footballeur professionnel, la tentation de tricher est grande. Et pourtant, « The show must go on », mais à quel prix ?
*fr.fifa.com/worldcup/news/y=2015/ m=12/news=la-coupe-du-monde-de-lafifa-2014tm-a-attire-plus-de-3-2-milliards-de--2745550.html (consulté le 2 mai 2018) Sources : 1. Marcel Mauss, Essai sur le don, Paris, Puf, 2007 [192-1924] 2. Principe fondamental n°2 de la Charte Olympique : olympic.org/fr/ documents/charte-olympique 3. laviedesidees.fr/Le-sport-idealdemocratique.html
La devise olympique « plus vite, plus haut, plus fort » invite les athlètes à donner le meilleur d’eux-mêmes, à dépasser leurs limites
Point de vue
Pierre-André Combremont
Prende soin de son corps
et que l’Esprit de Dieu habite en vous ? » 1 puis : « votre corps est le temple du Saint-Esprit » 2.
Une Coupe du monde, tout comme les Jeux olympiques, est un événement de portée universelle, qui laisse bien peu de gens indifférents. Cela fait partie de cette notion connue de tous, le sport, mot anglais devenu courant dans la langue française, qui signifie divertissement, amusement. Divertissement et amusement pour qui ? Pour le spectateur ou pour l’athlète ? Une chose est sûre, c’est que sa pratique est fortement encouragée depuis leur plus jeune âge aux écoliers puis tout au long de la vie comme un support de la santé, mentale et physique. Mens sana in corpore sano dit la célèbre maxime du poète latin Juvénal, dès le début du IIe siècle. Mais, plusieurs décennies auparavant, l’apôtre Paul recommandait déjà de prendre soin de son corps : « Ne savez-vous pas que vous êtes le temple de Dieu
En football comme dans tous les autres sports, les athlètes ont à respecter règles de vie et règlements de toutes sortes. Là aussi, la Bible ne l’ignore pas. L’apôtre Paul écrit encore : « L’athlète n’est pas couronné s’il n’a pas lutté en respectant les règles. » 3 Reste à souhaiter une Coupe du monde de football 2018 sans tricheries !
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La Bible, 1re Lettre de Paul aux Corinthiens, chapitre 3, verset 16 La Bible, 1re Lettre de Paul aux Corinthiens, chapitre 6, verset 19 3 La Bible, 2e Lettre de Paul à Timothée, chapitre 2, vesrset 5
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évangile
L’entraide fait la force Major Markus Walzer
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ous avons certainement beaucoup à apprendre de la nature et de la faune sauvage.
Récemment, j’ai vu voler des oies sauvages en Angleterre. Dans les airs, celles-ci esquissent une formation d’escadrille en V, semblable à la pointe d’une flèche. Et il y a une raison bien précise à voler dans ce type de formation. Des recherches scientifiques en aérodynamique ont permis de découvrir que quand un oiseau bat des ailes, cela crée un mouvement ascensionnel pour l’oiseau qui le suit immédiatement.
plus productifs lorsque nous sommes ensemble. Viser le même but et se soutenir mutuellement peut amener à accomplir bien plus que si chacun se démène seul dans son coin. Ajoutez à cela des paroles positives et encourageantes, cela donnera des ailes à tout le groupe, dans le véritable sens du terme ! « Veillons les uns sur les autres pour nous inciter à l’amour et à de belles œuvres. », est-il écrit dans la lettre adressée aux Hébreux. C’est dans cet esprit de communion, de soutien mutuel et dans une attitude d’encouragement réciproque, que je souhaite que nous puissions avancer plus loin, ensemble.
Grâce à cette formation, la colonie toute entière gagne environ 70 pour cent de capacité de vol par rapport à ce qu’une oie seule pourrait parcourir. Collaboration Lorsque l’oie située à la pointe du V est fatiguée, elle se place alors à l’arrière de cette aile et une autre de ses congénères prend sa place au sommet. À l’arrière, les oies poussent des cris pour encourager celles qui sont à l’avant à maintenir leur cadence.
Cette image que nous offre la nature m’inspire. Nous, les êtres humains, sommes également plus forts et
Dans la Bible Veillons les uns sur les autres pour nous inciter à l’amour et à de belles œuvres. La Bible, Épître aux Hébreux chapitre 10, verset 24
Les oiseaux migrateurs savent qu’en collaborant, ils dépensent moins d’énergie et peuvent donc aller plus loin
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témoignage
Témoigner de sa foi par le sport
Questions de Jacques Tschanz
Chaque année se déroulent deux grandes manifestations sportives organisées par l’Armée du Salut en Suisse. Le tournoi de foot « La Bessonnaz » en est l’une d’elles et aussi la plus ancienne, créée en 1962. Rencontre avec Charly Paris, organisateur du tournoi pendant 40 années, participant pendant 50 ans. pas la route, il a été possible, malgré quelques oppositions ... d’aller de l’avant dans ce projet. Comment l’aspect « spirituel » est-il apporté ? Vous priez avant le match pour gagner ?
Pas question de prier pour gagner un match, on gardait la prière pour des sujets plus importants et plus sérieux. Là, il ne s’agissait bien sûr que d’un jeu.
Charly Paris jouait déjà pour l’équipe d’Orbe en 1968. Debout de g. à d. : Daniel Paris, Edouard Braun, Philippe Beney, Samuel Beney ; accroupis de g. à d. : Charly Paris, Marc-Arthur Beney, Paul Burnand
Pouvez-vous nous dire quel a été le chemin parcouru (historique) pour arriver à organiser un tournoi de foot alors que, dans le passé, ce sport était regardé de travers par les salutistes qui le considéraient comme « mondain » et donc contraire à la spiritualité chrétienne ?
Charly Paris : C’est justement parce que jouer dans une équipe de football, suivre les entraînements, jouer les matches les dimanches, était difficilement compatible avec un engagement
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dans le Poste salutiste, qu’il était bien de trouver une alternative. Comme à Orbe il y avait plusieurs jeunes qui pratiquaient volontiers ce sport, mon père avait imaginé organiser un tournoi annuel regroupant des équipes des divers Postes salutistes de Suisse. Ceci pouvant offrir une bonne compensation, évitant un engagement ferme dans une équipe officielle. Le regard considérant le football comme mondain et contraire à la spiritualité chrétienne ne tenant
Toutefois, l’esprit de compétition n’étant jamais absent dans ces joutes, le défi a toujours été de rester modéré dans la composition de l’équipe (le désir d’avoir le meilleur groupe possible étant difficile à mettre de côté) de respecter l’adversaire, avoir un esprit sportif sur le terrain, accepter les décisions des arbitres, surveiller son vocabulaire, tout cela est une bonne école d’observation des principes spirituels chrétiens. Vous avez repris le flambeau d’organisateur en 1972, ce qui représente un grand travail. Qu’est -ce qui vous a motivé à le faire pendant 40 ans, soit, jusqu’en 2013 ?
Comme cela correspondait aux souhaits de nombreux joueurs dans les divers Postes et convaincu de la justesse de l’idée de base il
témoignage
Charly Paris est né à Orbe en 1948. Marié à Esther, il est papa de quatre enfants et grand-papa de douze petitsenfants. De formation commerciale, il a repris le magasin de meubles de ses parents jusqu’à sa retraite en 2015. Sportif, musicien, comédien (théâtre), il a de nombreuses cordes à son arc qu’il met en pratique dans les activités salutistes de son Poste.
Le Poste de Lausanne participait déjà aux premiers tournois organisés à la Bessonnaz, ici en 1967
n’a pas été difficile de se motiver. Cela offrait en outre de nombreux contacts humains très intéressants, échanges avec nos amis suisses alémaniques, et même d’Italie, de France, de Belgique et de Pologne. La possibilité de pouvoir aussi jouer (en plus de l’organisation).
Une remarque des arbitres qui revient régulièrement, mentionnant le fait que l’ambiance, l’absence d’alcool, le comportement général des joueurs, faisaient une belle différence avec les autres tournois qu’ils étaient appelés à arbitrer.
Même s’il n’y en a certainement pas eu beaucoup, quel est votre pire souvenir en tant qu’organisateur, et pourquoi ?
Pendant toutes ces années, avezvous constaté une évolution au niveau des joueurs et du jeu, et si oui, dans quels domaines ?
Les mauvais souvenirs sont les accidents bien sûr. Membres cassés ou autres, mais, hélas, également deux décès dus à des problèmes cardiaques !
Ce qui a surtout évolué, c’est le fait que de plus en plus de joueurs participants à ce tournoi faisaient aussi partie d’équipes officielles, ce qui contredisait quelque peu l’idée de base du tournoi. Cela contribue toutefois à élever la qualité du jeu présenté.
Et parmi tous les bons souvenirs, en avez-vous un en particulier à nous relater ?
La participation d’un joueur argentin professionnel au Servette dont j’ai oublié le nom, mais qui par ses qualités physiques et techniques était un plaisir à voir jouer. Un autre joueur de couleur venant d’Yverdon Sports et transféré plus tard à Sion entrait dans la même catégorie avec un esprit remarquable.
Comment faire pour que le sport ne devienne pas, en lui-même, un dieu ?
Ceci est relativement simple à mes yeux. Si l’on a une relation personnelle avec le seul vrai Dieu, un autre dieu n’a pas de place, en tous cas pas la première …
Pourquoi se nomme-t-il « Bessonnaz » et se déroule-t-il à Yverdon ?
Lors des 10 premières éditions, le tournoi se déroulait au-dessus de Lignerolle sur un seul petit terrain très bucolique (et qui d’ailleurs a laissé pas mal de nostalgie ...) à l’endroit appelé justement « la Bessonnaz ». Le nombre d’équipes augmentant nous avons dû déménager dans d’autres endroits pouvant offrir plus de surfaces de jeu. Les conditions qui nous étaient offertes à Yverdon étaient devenues idéales pour nos besoins. Combien d’équipes sont prévues pour le prochain tournoi ?
N’étant plus dans l’organisation je ne peux pas répondre à cette question (N.D.L.R. Par manque d’équipes, le tournoi 2018 a été annulé). Ce que je sais par contre, c’est qu’il a été très mal venu de placer les journées sportives nationales à moins d’un mois d’intervalle de notre manifestation. S’en remettra-t-elle ?
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à bien y penser ...
Sans tambour ni trompette Lisez les panneaux
Le dessinateur Alain Auderset nous invite à la réflexion. Chaque mois, vous trouverez une nouvelle BD à cet endroit.
Vu au centre d’une petite bourgade, au cœur de la France : une flèche, qui indique : « consultation ». Et juste en dessous : « boucher charcutier ». Je ne sais pas ce que vous en pensez, mais pour ma part, j’ai beau tourner et retourner le schéma dans ma tête, je me dis qu’il y a comme du danger dans l’air. Soit vous êtes un client potentiel du charcutier (côté couteau bien sûr), et personne n’a pris la peine de vous apprendre à faire autre chose que de bien grossir pour hâter votre destin, soit vous savez lire, et vous devez choisir. Consultation, dans mon idée, cela suggère des soins, ou du moins une écoute bienveillante. Boucher charcutier … disons qu’il s’agit d’un autre registre. Je n’ai jamais eu à me plaindre d’aucun représentant de ce corps de métier, mais pour autant je ne leur confierais pas mon existence et mon âme. J’aurais dû, certainement, descendre de ma voiture et aller examiner ce curieux assemblage de plus près. Le temps, et, allez savoir, peut-être le courage aussi, m’ont manqué. Ce que j’en garde, assurément, c’est une plus grande prudence : ne consultons pas à la légère, ne tombons pas dans le panneau ! Nous avons la chance d’avoir reçu l’éducation, la lecture, le discernement, utilisons-les à bon escient ! Notre être, notre âme, notre esprit, sont trop précieux pour finir sur le plot du charcutier !
Annelise Bergmann
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infos
L’Armée du Salut poursuit la reconstruction dans les Caraïbes La saison des ouragans 2017 a été l’une des pires de l’histoire des Caraïbes. Sur place, l’Armée du Salut continue à aider. Les ouragans de 2017 ont provoqué une gigantesque dévastation au Mexique, en Amérique centrale et dans le sud des États-Unis. Mais les dégâts les plus importants ont eu lieu dans certaines îles des Caraïbes.
Nom : Prénom : Adresse :
Localité :
Aide d'urgence Des équipes d’aide en cas d’urgence de l’Armée du Salut ont été immédiatement dépêchées sur place, afin de soutenir les personnes touchées, par la distribution de nourriture, l’organisation d’abris, de lits et de matelas. Des programmes de reconstruction ont ensuite été mis en place. Aujourd’hui, plus d’une demi-année après, l’Armée du Salut continue à soutenir la population locale. Maisons, repas, bateaux de pêche Sur les Îles Turques-et-Caïques, les enfants reçoivent des repas et des uniformes scolaires ; aux Bahamas les personnes touchées ont reçu des lits et de la literie ; en Dominique et à la Barbade, les gens ont reçu des articles de ménage. Des pêcheurs ont aussi pu reprendre leur travail grâce à de nouveaux bateaux et de nouveaux équipements. Les maisons sont réparées ou reconstruites. Projets à long terme L’Armée du Salut s’engage désormais dans des projets durables. Elle aide la population à mieux se préparer aux futurs ouragans qui ne manqueront pas de frapper à nouveau. Salvation Army IHQ
Oui, je m’abonne pour une année au mensuel « Espoir » pour la somme de CHF 48.– (CHF 67.– étranger)
Date : Signature : A envoyer à : Armée du Salut, Service des abonnements, Case postale, 3001 Berne redaction@armeedusalut.ch
À Saint-Martin, les projets de reconstruction continuent
Le Gabon deviendra le 129e pays dans lequel l’Armée du Salut est active : Le Général André Cox a approuvé l’ouverture officielle de l’activité de l’Armée du Salut au Gabon. Ce pays situé sur la côte Atlantique de l’Afrique centrale, et qui compte près de deux millions d’habitants, deviendra donc le 129e pays où le travail de l’Armée du Salut est officiellement reconnu, dès le 1er juillet 2018. Salvation Army IHQ
Mensuel de l’Armée du Salut | Laupenstrasse 5 | Case postale | CH-3001 Berne | Tél. 031 388 05 91 - Fax : 031 382 05 91 | Courriel : redaction@armeedusalut.ch | Internet : armeedusalut.ch | CP: 30-3117-4| Abonnement 1 an : CHF 48.- , CHF 67.(étranger), CHF 72.- (par avion) | Fondateur : William Booth | Général : André Cox | Chef de territoire : Commissaire Massimo Paone | Rédaction Berne: Florina German (responsable), Sébastien Goetschmann | Equipe de rédaction : Pierre-André Combremont, Yverdon-les-Bains / Marianne Hefhaf, Lausanne / Annelise Bergmann, Suchy / Major Jacques Tschanz, La Tour-dePeilz | Concept graphique : Didier Chassagnot | Mise en page : Sébastien Goetschmann | Imprimerie : Rub Media, Wabern | Tirage : CH : 3000 ex. BE : 2000 ex. | Crédit photo : P 1 & 2 : jarmoluk_pixabay.com, Andrew E Weber_stock.tookapic.com, skeeze_pixabay.com ; P 3 : P3_Sarah Hina_flickr.com ; P 4 & 5 : André Chevailler ; P 7 : Salvation Army IHQ ; P 8 : tomas_workman0_pixabay.com | L’Armée du Salut, mouvement international, appartient à l’Eglise chrétienne universelle. Son message se fonde sur la Bible. Son ministère est inspiré par l’amour de Dieu. Sa mission est d’annoncer l’Evangile de Jésus-Christ et de soulager, en son nom, sans distinction aucune, les détresses humaines.
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détente « Le sport ne forge pas le caractère. Il le révèle. » Hywood Hale Broun
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Conceptis Puzzles
Solution du Sudoku
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Règle du jeu
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En partant des chiffres déjà inscrits, remplissez la grille de manière à ce que : • chaque ligne • chaque colonne • chaque carré de 3x3 contiennent une seule fois les chiffres de 1 à 9. Pas besoin d’être fort en maths !
1 2 8 5 9
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Annoncer les rectifications d’adresses
Sudoku
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