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Mensuel de l’Armée du Salut - 127e année - N° 11 - 2017
Société
Une pub rien que pour moi Sébastien Goetschmann
La publicité fait partie intégrante de notre vie. Sans même le remarquer, nous sommes quotidiennement bombardés de messages publicitaires, et ce peut-être d’autant plus durant cette période de l’année où nous approchons de Noël.
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eut-être que ce harcèlement publicitaire vous insupporte, que vous avez placé bien en vue un autocollant « Non merci, pas de pub ! » sur votre boîte aux lettres. Et pourtant, la publicité n’est qu’un miroir de la société dans laquelle nous vivons. Si on ne peut lui nier une certaine influence sur nos comportements d’achat, il faut relever qu’elle reflète tout autant l’évolution de notre mode de consommation.
Les origines de la publicité On peut remonter à l’Antiquité pour retrouver des traces de publicité. Il s’agissait alors d’annoncer des combats de gladiateurs ou de mettre en avant les mérites d’un homme politique, sur des fresques ou des vases. Au Moyen Âge, les crieurs dans les rues diffusent les ordonnances royales et des annonces commerçantes. Mais c’est avec l’apparition de l’imprimerie au XVe siècle que la publicité va réellement prendre son essor. La page imprimée devient accessible au grand public et
L’intendant fidèle page 3
Au Moyen Âge, ce sont les crieurs qui propageaient les messages dans les rues
on constate rapidement l’apparition du flyer et des affiches tapissent dès lors les murs des villes. Dans la presse, en 1633, Théophraste Renaudot lance une brochure destinée aux annonces des particuliers et des marchands. Puis au cinéma, à la télévision, à la radio, et désormais sur Internet, les annonces publicitaires sont devenues omniprésentes.
Emergence d’une société de consommation Durant la Seconde Guerre mondiale, la publicité est essentiellement utilisée comme outil de propagande à des fins militaires et politiques. Durant les 30 glorieuses, la publicité renaît dans un but de développement économique et marque le début de la société de consommation. L’individu pense alors page 2
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société
de plus en plus à son plaisir, la société devient individualiste. Aujourd’hui, une grande partie de la population occidentale est quotidiennement connectée à Internet. Les entreprises profitent de cette concentration de potentiels consommateurs pour mettre leurs produits en avant. La publicité devient omniprésente. En prenant en compte les panneaux d’affichage, les placements de produits dans les films, les logos bien visibles sur les vêtements, les présentoirs dans les magasins, les enseignes
Sur les murs des maisons aussi, la publicité a fait son nid
dans les rues, … nous serions exposés à pas moins de 15 000 stimuli commerciaux par jour !* A chacun sa pub Chaque personne possède ses propres singularités et ne se gêne plus pour les afficher, notamment sur les réseaux sociaux. Et les marques ne se privent pas de collecter et d’analyser toutes les données de nos actions sur le Web : les pages que nous visitons, les publicités qui attirent notre attention, nos habitudes d’utilisation et de consommation ; et ce d’autant plus si nous possédons une carte de fidélité. Qui suis-je, quelles sont mes valeurs, mes habitudes, mes goûts ? Nous n’avons presque plus de secret.
En effet, pourquoi devrait-on tous voir la même publicité à la télévision sur la même chaîne à la même heure ? Nous n’avons pas le même sexe, pas le même âge, pas le même mode de vie ni les mêmes attentes. Un écran publicitaire qui s’adresse directement à moi, de façon totalement personnalisée, sera bien plus efficace. Et comme le média principal deviendra de plus en plus souvent notre téléphone portable, il sera possible de toucher quelqu’un qui passe devant un magasin, en lui proposant une offre en fonction de ses habitudes de consommation, du stock du magasin en question, et même du temps d’attente à la caisse. Un distributeur de café le fait déjà aux Etats-Unis.
Aujourd’hui, la publicité ciblée sur Internet n’est plus * etopia.be/spip.php?article569 une nouveauté. Mais il y a trop (consulté le 14 septembre 2017) de messages, qui ne sont pas nécessairement diffusés sur les « bons écrans ». La publicité va Sources : de plus en plus s’aligner sur les attentes du consommateur au marketing-community.fr/2016/05/ moment où elles surviennent et se levolution-necessaire-de-la-publicite déplacer vers de nouveaux écrans. tpe-publicite-es.e-monsite.com/ Les possibilités sont infinies. pages/histoire-de-la-publicite.html
Point de vue
Pierre-André Combremont de publicité particulière s’adresse à la population de nos contrées de culture chrétienne.
Soyez mes témoins C’est samedi, il est 19 heures (ou 18 heures selon la localité) et vous entendez les cloches de l’église sonner à toute volée. Peut-être que vous vous en demandez la raison ? C’est tout simplement une très ancienne tradition pour vous rappeler que demain c’est dimanche, le jour du Seigneur,
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et que vous êtes attendus au temple ou à l’église ou toute autre chapelle pour le culte ou la messe qui y seront célébrés. Demain matin, vous entendrez à nouveau ces cloches qui vous informeront que c’est l’heure de vous rendre à ce service divin ! C’est ainsi que depuis des siècles cette forme
Le but de la publicité n’est pas uniquement de faire vendre des marchandises ou des services, c’est également d’informer le public (la racine latine de ces deux mots est d’ailleurs la même). Un des moyens les plus directs et efficaces pour informer est
sans doute le bouche à oreille. Ainsi, la parole des témoins a-t-elle toute sa valeur. C’est pourquoi Jésus, quand il est apparu aux apôtres après avoir été ressuscité, leur a dit : « Vous serez mes témoins à Jérusalem, dans toute la Judée, dans la Samarie et jusqu’aux extrémités de la terre. » (La Bible, livre des Actes des apôtres, chapitre 1, verset 8).
évangile
L’intendant fidèle Sébastien Goetschmann
Dans la Bible Celui qui est fidèle dans les moindres choses l’est aussi dans les grandes, et celui qui est injuste dans les moindres choses l’est aussi dans les grandes. Si donc vous n’avez pas été fidèles dans les richesses injustes, qui vous confiera les véritables ? Et si vous n’avez pas été fidèles dans ce qui est à autrui, qui vous donnera ce qui est à vous ?
La Bible, Evangile de Luc, chapitre 16, versets 10 à 12
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ien sur cette terre ne nous appartient réellement. C’est de Dieu que nous viennent toutes nos richesses, nos dons, nos compétences, puisque c’est lui qui nous a créés. L’homme n’en est, en quelque sorte que l’intendant. C’est-à-dire qu’il a la mission d’administrer, de s’occuper de ces richesses, en vue de les faire fructifier pour le royaume de Dieu.
Les versets ci-dessus font suite à une parabole racontée par Jésus. Il y avait un intendant infidèle, qui a dispensé les biens de son maître. L’homme riche l’a donc démis de ses fonctions et lui a demandé de rendre des comptes. Ainsi, tout homme devra également rendre compte de l’utilisation qu’il a fait de sa vie, de ses dons, de son temps, de son argent. Aurons-nous agi de manière responsable ? En transposant cette idée à la vie spirituelle, le croyant porte en lui l’espérance d’une vie éternelle qu’il passera au ciel, auprès de Dieu. Les richesses injustes, celles qui ne nous appartiennent pas, sont celles que nous avons sur cette terre. Nous devons constamment
nous rappeler que notre avenir ne se trouve pas ici, mais au ciel. Ainsi, nous devons gérer avec sagesse les biens de notre Maître de manière à nous préparer un accueil favorable au ciel. Au service de l’autre Dans la vie d’un chrétien, cela doit se traduire par une attitude tournée vers les autres. « Puisque chacun a reçu un don mettezle au service des autres en bons intendants de la grâce si diverse de Dieu », est-il écrit dans la Bible en 1 Pierre, chapitre 4, verset 10. Lorsque nous agissons pour le bien de l’autre, nous posons des fondations pour nous-mêmes dans le ciel. Nos bonnes œuvres y seront comptabilisées en tant que trésor céleste. Cette attitude concerne également notre gestion de l’argent.
d’utiliser notre argent pour aider une personne dans le besoin ? La Bible nous dit que notre fidélité déterminera ce que Dieu nous confiera au paradis. Nous pouvons imaginer que si nous avons été fidèles dans l’emploi de nos dons, Dieu nous en remettra beaucoup dans le ciel. Au contraire, si nous avons été infidèles, certainement que rien ne nous serra confié dans la vie éternelle.
Bien administrer ses biens L’enseignement de Jésus concernant l’utilisation de l’argent est clair : « Car là où est ton trésor, là aussi sera ton cœur. »* Notre manière de gérer nos finances indique également notre attitude de cœur. Sommes-nous tentés de * La Bible, Evangile de Matthieu, faire le plus de profit possible ou chapitre 6, verset 21
Notre gestion de l’argent fait partie des petites choses pour lesquels Dieu nous demande d’être fidèles, afin de nous confier les véritables richesses dans la vie éternelle
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marketing
Les Eglises ne doivent pas avoir honte de leur identité Questions : Sébastien Goetschmann
Les Eglises ont tort de se priver d’un bon marketing. Pour Martin Künzi, associé et directeur d’exploitation pour l’agence de communication Enigma, il faut oser être un peu provocant pour faire passer le message de l’Evangile. De manière générale, les Eglises savent-elles bien se vendre ?
Le problème des Eglises est qu’elles sont souvent trop timides, effacées. Pour beaucoup, être chrétien signifie qu’on doit accepter les autres et leurs idées, sans les offenser, ni les bousculer. Alors on ne dit rien de peur de les blesser. Mais c’est une grave erreur, car nous avons des choses justes et bonnes à partager. Nous ne devons pas avoir honte de notre identité et du message transformateur que nous portons. Nous devons avoir plus d’assurance, car communiquer que Jésus est mort et ressuscité pour que nous puissions vivre en relation directe avec Dieu est la seule chose qui a une raison fondamentale de bénéficier du marketing. C’est le plus beau des messages et il doit être partagé. Est-ce compatible de parler de marketing pour une Eglise ?
Si ce n’est sur les panneaux d’affichage devant le bâtiment, comme ici aux Etats-Unis, les Eglises peinent à utiliser les méthodes marketing, peut-être par peur de déranger
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Comparer l’Eglise à une marque est déjà provocant. Mais je pense qu’on peut l’envisager de cette manière, puisqu’elle a un
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« produit » à offrir : la foi en Dieu. Et il y a de nombreux « clients » à atteindre. La différence avec une entreprise est que l’Eglise ne se positionne pas en termes de profit, mais de réponse aux besoins de la société. Si l’emballage est le même, le produit lui est bien différent. Le marketing consiste à créer un message simple, qui touche, qui provoque de l’émotion chez un public cible. Un bon marketing doit engendrer une interaction, que le client achète le produit ou qu’il parle de la marque. Pour cela, le marketing doit être un peu provocateur, il doit amener des tensions, susciter la curiosité, pour qu’un dialogue puisse naître entre l’annonceur et le client. Alors quel est le bon marketing pour l’Eglise ? Existe-t-il un marketing « chrétien » ?
Il faut commencer par définir l’identité propre de l’Organisation qui puisse toucher les gens et provoquer une réaction à l’extérieur. Chaque Eglise a ses particularités. Il faut trouver le point qui interpelle. Il y a une réflexion sur les besoins auxquelles l’Eglise peut répondre dans sa région, qui doit être menée. Il faut ensuite que ses membres s’y identifient et en soient fiers. Le marketing d’une Eglise est porté premièrement par ceux qui en font partie. Si les ambassadeurs de la « marque » n’en sont pas satisfaits, alors il y a peu de chances de convaincre de nouveaux « clients ». Enfin, il faut que le message transmis soit également vécu, sinon c’est une fausse promesse qui sera vite démasquée. En cela, le marketing consiste à être soimême, mais dans l’exagération.
Martin Künzi estime que les Eglises ont un message primordial à partager par tous les moyens
Y a-t-il des éléments pour lesquels l’Eglise ne devrait pas faire de marketing ?
Je pense que les Eglises ne devraient pas seulement mettre leurs œuvres sociales en avant. Beaucoup d’entreprises ou d’organisations parlent de leurs actions dans le domaine social uniquement pour se donner une bonne image. C’est difficile, car le domaine social devient de plus en plus un marché concurrentiel. Mais je crois que si un engagement social est fait sérieusement dans le souci du bien-être des personnes aidées, alors cela se saura, même sans marketing. N’y a-t-il pas un risque de perdre le message de l’Evangile pour vendre l’Eglise en tant qu’institution ?
Bien sûr, il faut que le message de l’Evangile reste l’élément principal. Pour moi, le marketing
doit attirer l’attention. Cela peut être un événement ponctuel, comme une fête dans le quartier, qui permet de créer un premier contact et d’entamer un dialogue. Jésus a peut-être été le premier promoteur du marketing. En vivant pleinement sa relation avec Dieu et en la partageant aux foules, il a « vendu » le produit « foi » à un grand nombre, puis il a créé la « marque Eglise chrétienne » pour continuer de diffuser son message. D’ailleurs, Jésus utiliserait certainement toutes les technologies fortes et actuelles pour diffuser ce message. Alors si un peu de marketing permet à quelqu’un de commencer à penser à la foi, il a un rôle important à jouer. Cela peut être un moyen de provoquer une réflexion, voire le premier pas vers une vie transformée.
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à bien y penser ...
Sans tambour ni trompette N’en déplaise à Newton Qu’est-ce qu’on en a entendu parler, de la pomme de Newton ! Plus encore, si ça se trouve, que d’Archimède qui plonge dans son bain et en ressort … mouillé ! Ah, la théorie de la gravitation ! Tout tombe : les pives, les tuiles, la pluie, … et tous, on a extrapolé sur la difficulté à vivre en apesanteur, imaginé les astronautes qui mangent, qui boivent, et pire encore … Bizarrement, pour s’être lourdement appesanti sur l’attraction terrestre, on en a un peu oublié l’autre. Jamais entendu parler de l’attraction céleste ? Jamais ressenti tout au fond du cœur cette discrète nostalgie d’une maison d’en haut ? Jamais su, profondément su, que notre véritable identité était ancrée au-delà des nuages ? Alors, quand la silhouette se courbe, quand le poids des jours se fait sentir, ou quand la tristesse nous fait baisser les yeux : hauts les cœurs ! Si les pieds sont bien attirés par la terre, le cœur et l’âme sont attirés par le ciel ; n’en déplaise à Newton !
Annelise Bergmann Le dessinateur Alain Auderset nous invite à la réflexion. Chaque mois, vous trouverez une nouvelle BD à cet endroit.
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infos
Etre community manager* à l’Armée du Salut Je suis Mathias Boutet, j’ai 20 ans et je suis membre actif du Poste de Quaregnon. Fan invétéré de Star Wars, je garde encore bon espoir quant à mes prédispositions à devenir un Jedi, … bon, plus sérieusement. Je suis actuellement en dernière année d’un Bachelier de communication, et j’occupe la fonction de community manager à l’Armée du Salut en Belgique, en d’autres termes, j’assure sa présence sur les réseaux sociaux. L’objectif de cette démarche est de faire connaître et de valoriser les nombreuses activités des Postes et Institutions belges par des moyens tels que Facebook.
prioritaires de l’Armée du Salut et qui sont également développés par le travail du community manager. En tant que bénévole et/ou membre d’un Poste, si vous désirez communiquer sur un évènement ou une action, contactez votre officier qui relaiera l’information. Nos actions sont porteuses de fruits, il est important de les partager !
Il est aujourd’hui indispensable Pour trouver la page Facebook, d’utiliser les outils que nous il faut chercher « Armée du Salut offrent Internet et les médias. – Belgique » ou utiliser le lien Depuis quelques années, l’Armée suivant : du Salut a pris conscience de facebook.com/pg/ArmeeduSacette réalité. Les Territoires se lutBelgique/posts sont peu à peu inscrits dans une stratégie de communication, tant * Community manager = Anià l’interne qu’à l’externe, et ont mateur de communauté en ligne développé de nombreux services est le terme choisi par la comqui y sont inhérents. Le recru- mission d'enrichissement de la tement de bénévoles, la levée langue française. de fond, la relation positive à notre mouvement salutiste et à ses activités, … Autant d’enjeux Mathias Boutet qui sont aujourd’hui des objectifs
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Mathias Boutet est community manager pour l'Armée du Salut en Belgique
A renvoyer à : Armée du Salut, Service des abonnements, 34, Pl. du Nouveau Marché-aux Grains, 1000 Bruxelles Mike_Stannett@bel.salvationarmy.org
Mensuel de l’Armée du Salut | Editeur responsable : Major Mike Stannett, Pl. du Nouveau Marché-aux-Grains 34 | BE1000 Bruxelles | Tél. 02 513 39 04 - Fax: 02 513 81 49 | Courriel : Mike_Stannett@bel.salvationarmy.org | Internet : www. armeedusalut.be , www.legerdesheils.be | Abonnement 1 an : 7.5 (13,5 étranger) | Fondateur : William Booth | Général : André Cox | Chef pour la Belgique : Major Mike Stannett | Rédaction Berne: Florina German (responsable), Sébastien Goetschmann | Equipe de rédaction : Pierre-André Combremont / Marianne Hefhaf / Annelise Bergmann / Major Jacques Tschanz | Concept graphique : Didier Chassagnot | Mise en page : Sébastien Goetschmann | Imprimerie : Rub Media, Wabern | Tirage : CH: 3 000 ex. BE : 2 000 ex. | Crédit photo : P 1 & 2 : pexels.com, Tiverton Town Council_flickr.com, pxhere.com ; P 3 : pxhere.com ; P 4 & 5 : pinterest.ch, Sébastien Goetschmann ; P 7 : MAD ; P 8 : olive.titus_flickr.com | L’Armée du Salut, mouvement international, appartient à l’Eglise chrétienne universelle. Son message se fonde sur la Bible. Son ministère est insMembre de l’Union piré par l’amour de Dieu. Sa mission est d’annoncer l’Evangile de Jésus-Christ et de soulager, en son nom, sans distinction des Editeurs de la aucune, les détresses humaines. Presse Périodique
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« Dieu lui-même croit à la publicité : il a mis des cloches dans les églises. » Aurélien Scholl
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En partant des chiffres déjà inscrits, remplissez la grille de manière à ce que :
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• chaque ligne • chaque colonne • chaque carré de 3x3 contiennent une seule fois les chiffres de 1 à 9. Pas besoin d’être fort en maths !
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Annoncer les rectifications d’adresses
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