Espoir 02/2017 (BE) - Remettre l'argent à sa place

Page 1

Bureau de dépôt : 1000 Bruxelles 1 — P401061 — 0.70€ Février 2017

Mensuel de l’Armée du Salut - 127e année - N° 2 - 2017

Société

Remettre l'argent à sa place 

Jérôme G.

« Le concept de pauvreté avait de quoi déconcerter, mais pour nous c’était une véritable option de vie, et non une proclamation morale parmi d’autres. La conviction selon laquelle l’avenir est à la civilisation de la sobriété n’a cessé d’être à mes yeux une évidence grandissante et, dans la boulimie consommatrice qui étreint le monde, une nécessité vitale  » 1

L'

argent sert d’étalon. Mais rappelons-nous que ce n’est pas son rôle premier, puisqu’il fut créé pour exalter l’ego surdimensionné de cités et de leurs princes, les premières pièces frappées connues datant du VIIe siècle av. J.-C. Ce n’est qu’ensuite qu’on lui trouvât une utilité dans l’échange des biens et dans la mesure du coût des choses. 2 L’argent sert donc aujourd’hui d’étalon et nous permet de (presque) tout mesurer en termes de valeur. La valeur étant ainsi ramenée à une donnée pécuniaire. Il passe malheureusement bien trop souvent avant l’humain, avant le social et avant le politique. Pourtant, l’argent ne reste qu’un moyen d’action parmi d’autres. Il tient la place actuelle en grande partie à cause de la mondialisation et de la globalisation des marchés, et de notre consentement. Il nous permet d’utiliser un travail qui n’est plus local, alors que

La dîme   page 3

vivre sans lui nous obligerait à faire attention aux besoins de notre collectivité proche, et nous obligerait à prendre nos responsabilités écologiquement et humainement parlant. L’indispensable chemin vers la simplicité volontaire Si à une époque les «  maîtres de l’humanité  » étaient les princes et les puissants, aujourd’hui ce sont les riches. Et Chomsky écrivait, en reprenant Adam Smith, Au départ, les pièces de monnaie ne servaient qu’à glorifier le père des sciences éco- les dirigeants de puissantes cités nomiques  : «  Une main invisible […] va détruire toute possi- société civilisée  › devrait faire. Elle va bilité d’existence humaine décente, à détruire l’ensemble de la communauté, moins que le gouvernement ne prenne l’environnement, les valeurs humaines des mesures pour éviter d’en arriver en général et, qui plus est, les maîtres là, ce que le gouvernement de ‹  toute eux-mêmes.  » 3   page 2

Apprendre à gérer son argent   pages 4-5


société

Chomsky fait ici preuve d’un réalisme visionnaire, qui nous pousse à envisager que peut-être la pauvreté, ou dit autrement la simplicité volontaire, le don de soi et la sobriété, sont les solutions de notre siècle. Un travail difficile, proposant d’amener les individus et les populations occidentales à se poser la question de ce qui découle réellement de besoins vitaux ou alors d’envies et de luxe. Et à se poser la question de la pertinence de la possession de biens superflus dans une société où les écarts entre riches et pauvres s’agrandissent chaque jour.  Pierre Rabhi, vers la sobriété heureuse, Acte Sud, Arles, 2010.

1

2  https://www.herodote.net/650_

av_J_C_a_nos_jours-synthese-22.php (consulté le 6 décembre 2012). Noam Chomsky, Un monde complètement surréel, LUX, Montréal, 2004.

3

Ce n’est pas l’argent en lui-même qui pose problème, mais la relation que nous entretenons avec lui

Sources  : • Gandhi, Tous les hommes sont frères, Gallimard, Paris, 1997. • Hélène Bourban, Sophie de Rivaz, Martyna Olivet (dir.), Trop riches, trop pauvres, Editions d’en bas, Lausanne, 2015. • Jean Ziegler, L’Empire de la honte, Fayard, Paris, 2007. • Mark Boyle, L’Homme sans argent, Les Arènes, Paris, 2014. • Noam Chomsky, Un monde complètement surréel, LUX, Montréal, 2004. • Pierre Rabhi, Vers la sobriété heureuse, Acte Sud, Arles, 2010.

Point de vue La valeur des choses « Car l’amour de l’argent est une racine de tous les maux ; et quelques-uns, en étant possédés, se sont égarés de tout conviction de vérité, et se sont jetés eux-mêmes dans bien des tourments.  » 1 Le prix d’une chose, matérielle ou non, n’est pas une donnée qui lui est intrinsèque. Il ne dépend pas de l’objet en question, mais est totalement externe à lui. Il ne dépend

2

Jérôme G. que de ce que nous projetons dessus en tant qu’individu ou communauté, et du pouvoir de l’économie. Pourtant le problème ne réside pas dans le fait que les choses aient un prix, mais dans le fait que le prix soit l’étalon de la valeur de ces choses. Et lorsque l’on parle d’écologie, de santé, de droits fondamentaux ou de besoins vitaux, si la première question que l’on se pose est  : «  Qui va payer pour cela  ?  », on peut alors légitimement se poser une autre question  : celle de la place de la bienveillance, et donc de l’essence même de la foi chrétienne.

La bienveillance aurait donc elle aussi un prix. Si oui, alors je me pose la même question que Karl Marx  : ce que je peux faire en tant qu’homme, ce que nous pouvons en tant que collectivité dépend-il de l’argent dont nous disposons  ? La base de toute action bienveillante repose sans aucun doute sur d’autres valeurs, telles que l’empathie, la compassion, le non-jugement, etc. et non sur une valeur pécuniaire. «   Si tu considères que l’homme se réalise en tant qu’homme, et que son rapport au monde se réalise en tant

que rapport humain, tu ne peux échanger que l’amour contre l’amour, la confiance contre la confiance.  » 2

1 La Bible, 1 Timothée chapitre 6, verset 10 2 Karl

Marx, L’argent danse pour toi  !, indigène éditions, Roubaix, 2010.

Sources : • Albert Jacquard, J’accuse l’économie triomphante, Calmann-Lévy, Paris, 1995. • Albert Jacquard, Mon utopie, Stock, Paris, 2006.


évangile

La dîme   Sébastien Goetschmann

Dans la Bible Toute dîme de la terre, soit des récoltes de la terre, soit du fruit des arbres, appartient à l’Eternel ; c’est une chose consacrée à l’Eternel. Si quelqu’un veut racheter quelque chose de sa dîme, il y ajoutera un cin-

L

a dîme, c’est-à-dire le dixième, consistait à donner 10  % de ses récoltes (de son revenu) à Dieu. Dans l’Ancien Testament, Abraham déjà, lorsqu’il revint en vainqueur d’un combat après avoir délivré son neveu Lot, donna la dîme de tout au sacrificateur Melchisédek (La Bible, Livre de la Genèse, chapitre 14). Plus tard, Jacob décida aussi de donner la dîme à Dieu (Genèse, chapitre 28, versets 20 à 22). L’utilisation du verbe donner montre qu’ils le faisaient volontairement. Par la suite, la dîme devint une obligation légale pour les Israélites. Cette dîme servait à la nourriture des lévites, qui faisaient le service du temple. On pourrait dire aujourd’hui que c’est la part qui revient à l’église pour payer les serviteurs de Dieu. Mais nulle part dans le Nouveau Testament il n’est mentionné l’obligation de donner la dîme. Nous sommes en droit de nous demander s’il faut encore la payer et combien  ? «  Sachez-le, celui qui sème peu moissonnera

quième. Toute dîme de gros et de menu bétail, de tout ce qui passe sous la houlette, sera une dîme consacrée à l’Eternel. On n’examinera point si l’animal est bon ou mauvais, et l’on ne fera point d’échange ; si

l’on remplace un animal par un autre, ils seront l’un et l’autre chose sainte, et ne pourront être rachetés. La Bible, Livre du Lévitique, chapitre 27, versets 30 à 33

peu, et celui qui sème abondamment moissonnera abondamment. Que chacun donne comme il l’a résolu en son cœur, sans tristesse ni contrainte  ; car Dieu aime celui qui donne avec joie. Et Dieu peut vous combler de toutes ses grâces, afin que, possédant toujours en toutes choses de quoi satisfaire à tous vos besoins, vous ayez encore en abondance pour toute bonne œuvre, selon qu’il est écrit  : Il a fait des lar- Bien que la dîme ne soit pas une obligation formelle, Dieu assure gesses, il a donné aux de bénir les personnes qui donnent de bon cœur indigents ; sa justice subsiste à jamais.   » (La Bible, donner ce qui nous semble juste Deuxième lettre aux Corinthiens, et de bon cœur. Et surtout, Dieu chapitre 9, versets 6 à 9). nous promet des bénédictions lorsque nous donnons avec joie. Même s’il est communément Car c’est à lui que tout appartient admis que la dîme correspond à et il sait récompenser ceux qui lui 10 % de ses revenus, on le voit dans obéissent. ce passage, Dieu nous encourage à

3


finances

Apprendre à gérer son argent Andy Beney est responsable du Bureau social de l’Armée du Salut à Renens. Les problèmes liés à l’argent et à la gestion d’un budget constituent la majorité des demandes d’aide de ses clients.   Questions  : Sébastien Goetschmann plus que moi  ! Et pourtant, ils peinent à gérer leur argent avec discernement.

Au Bureau social de l’Armée du Salut à Renens, Andy Beney se tient prêt à offrir son soutien aux personnes dans le besoin

Comment la problématique de la gestion de l’argent a-t-elle évoluée ces dernières années ?

Andy Beney : J’ai l’impression que c’est de pire en pire. La réalité est peut-être toute autre, c’est mon espoir. L’accès à l’information est de nos jours très facilité. Il est donc possible de connaître le droit et des astuces pour gérer comme il se doit ses finances et aussi comment actionner les différentes aides. Les gens ont de moins en moins l’excuse de dire  : «  Mais je ne savais pas.  » Certains de mes visiteurs en savent même

4

Ce qui est peut-être nouveau ces dernières années, en lien avec l’information facilitée, c’est l’accessibilité. Tout devient accessible, à portée de main, donc tentant et normal aussi. C’est tellement bien d’avoir le nouvel iPhone à 0.-, qui ne coûte rien sur le moment, mais dont le prix réel se reportera sur les prochaines factures. C’est tellement mieux de consommer, jeter et racheter à la place de prendre soin, garder et réparer au besoin. Cette surconsommation a un poids direct sur le budget des ménages. Avoir tout, tout de suite, est à la mode et il est difficile d’agir à contre-courant. Il faut savoir que la gestion des finances est la cause n° 3 des divorces après l’infidélité et l’égoïsme. Mais à la place de résoudre les problèmes financiers, le divorce les augmente. Les gens ont de la peine à réaliser cette vérité. Ils pensent qu’en fuyant une situation difficile, les problèmes disparaissent, alors qu’ils augmentent. 90% des gens qui viennent me voir sont touchés directement par une situation de séparation. Ce genre de maux de la société est devenu une norme. Et je pense que c’est sur ce genre de situation que nous avons à travailler.

Une autre problématique est que les différentes instances mettent beaucoup de temps à répondre aux sollicitations. Il faut par exemple au minimum trois mois de délai pour obtenir des subsides de l’assurance maladie. Pendant ce temps-là, les bénéficiaires en subissent les conséquences financières. Comment l’Armée du Salut peutelle venir en aide ?

A. B.  : En redonnant l’exemple, en accompagnant, en soutenant financièrement les personnes fragiles, etc. Mais surtout en ayant cet objectif de sortir les gens de leur galère et de leur inculquer cette valeur de la bonne gestion financière. L’argent est un thème très présent dans la Bible et Dieu nous dit de l’utiliser avec sagesse. L’ennemi l’utilise pour soumettre l’être humain à son autorité. C’est un sujet plus spirituel qu’on ne le pense, mais qui reste malheureusement très tabou dans nos Eglises. Quel type de personnes viennent au Bureau social  ?

A. B.  : Ce sont principalement des personnes qui bénéficient d’une assistance (service social, chômage, AI, AVS, migration) ou qui ont de faibles rémunérations salariales. La plupart vivent dans une famille nombreuse ou monoparentale et ont un niveau d’éducation bas, deux facteurs qui augmentent statistiquement le risque de pauvreté. Ces personnes


finances

ont de grandes difficultés à gérer leur argent et à poser les bonnes priorités. Elles ont souvent des dettes. Quand elles viennent me voir la première fois, il est déjà tard pour limiter les gros dégâts. Du coup, il faut travailler sur deux plans. Le premier c’est l’urgence, avec du soutien financier et le deuxième c’est l’accompagnement vers une autonomie à moyen terme dans la gestion financière et administrative. Quelles prestations sont fournies dans ce domaine ?

A. B.  : Au Bureau social à Renens, pressé par le temps, je suis plus à répondre à l’urgence. Alors j’oriente et conseille beaucoup. Concrètement cela se traduit par des paiements de factures, des dons de bons alimentaires, la réalisation de budgets, la préparation de démarches administratives et quelques recherches de fonds. Avec mes clients, je vais droit au but, sans les juger. Je leur demande de ne rien me cacher car l’omission d’une donnée peut vraiment changer la problématique. L’important ce n’est pas le passé, mais de réagir en conséquence. Je les mets face à leurs responsabilités et à leur manière de fonctionner. Je vulgarise un maximum, résume et donne les priorités. En fait, l’idée est d’aider les gens à s’aider eux-mêmes. Du coup, j’évalue leurs capacités et agis en fonction. Je leur fixe des rendez-vous avec des objectifs à atteindre. Après, c’est à eux de se mettre en route. Comment peut-on bien planifier son budget ?

A. B.  : Pour commencer, je rappelle la fonction d’un budget  : avoir une vue d’ensemble de ses finances, comprendre d’où vient l’argent et où il part, planifier

Durant les entretiens-conseils qu’Andy Beney offre, la majorité des personnes reçues viennent pour des problèmes liés à leur gestion de l’argent

des objectifs, déceler les efforts à fournir et dans quels domaines, etc. Pour les gens c’est une découverte. Alors je leur conseille d’abord de noter toutes leurs recettes et dépenses sur un mois et ensuite de les reporter dans un budget en trois parties : revenus, charges fixes et charges variables. Dès lors on peut déceler d’où vient le problème et travailler dessus. Ensuite, l’idéal est de le faire tous les mois et ainsi d’avoir la vue d’ensemble sur l’année comme outil prévisionnel. Bien souvent, c’est sur les dépenses qu’il y a le plus de problèmes à résoudre. Ensuite, je ne pense pas qu’il y ait vraiment de truc. Le bon sens est primordial. Je me souviendrai toujours d’un rentier qui me disait manquer de frs. 250.- par mois, alors qu’il allait boire ses deux cafés par jour au bistrot … C’est souvent sur les dépenses courantes que l’on peut rapidement faire la différence.

factures de loyer, d’électricité et des primes d’assurance maladie. C’est le premier chantier. Ensuite, l’idéal est de faire des arrangements de paiements pour les grosses factures. Mais il faut faire attention de ne pas en avoir trop ! Pour le reste, tout est négociable. Et là, en général, les gens n’ont plus besoin de moi. Quelque chose à ajouter sur la gestion de l’argent  ?

A. B.  : N’oubliez pas  : la première dépense est la dîme  ! Je crois que tout nous vient de Dieu. Même si notre travail mérite salaire, c’est Lui qui nous donne les facultés de travailler. Alors rendons-lui cette part sans droit de regard. Même si on pense que la fin du mois sera difficile, tout est dans Sa main. Faites l’expérience de la dîme, vous verrez c’est génial  ! Et en plus ce n’est pas interdit de donner plus que 10 % de ses revenus.

Le plus important, quoi qu’il arrive, c’est d’être à jour avec les

5


à bien y penser ...

Sans tambour ni trompette Des enfants au jardin

Le dessinateur Alain Auderset nous invite à la réflexion. Chaque mois vous trouverez une nouvelle BD à cet endroit.

Il y a quelque temps j’ai eu un petit sourire en coin en discutant avec un homme qui avait fui la guerre dans son pays et s’intégrait tout doucement chez nous. En comparant les différences de mentalité et les coutumes familiales il m’a fait remarquer, très choqué  : «  Tu te rends compte, pour aller travailler, les femmes chez vous elles amènent leurs petits dans un jardin pour les enfants  ! Il y a des jardins où on peut les poser  !  » Il avait mal compris le concept de la prise en charge en jardin d’enfant, c’est clair ; mais tout de même ... J’ai été un peu attristée l’autre jour en découvrant la nouvelle formule touristique  : l’hôtel garanti sans enfants. Il semblerait que cela fasse fureur ces derniers temps. Des vacances sans rires d’enfants   ? C’est pour moi aussi vide qu’une forêt sans oiseaux, aussi fade qu’un pain sans sel  ! J’aime me représenter cette image où on voit Jésus sur la Terre, des gamins plein les genoux, qui répond à ses disciples un peu agacés  : «  Laissez les enfants venir à moi, ne les empêchez pas  ! En effet le royaume de Dieu appartient à ceux qui sont comme les enfants. Je vous le dis, c’est la vérité  : Si quelqu’un ne reçoit pas le royaume de Dieu comme un enfant, cette personne ne pourra jamais y entrer.  » La Bible, Evangile de Luc, chapitre 18, versets 16 et 17.

Annelise Bergmann

6


infos Un Poste pour le XXIe siècle Une grande joie et effervescence étaient palpables pendant le week-end d'ouverture du nouveau Poste de Liège, les 3 et 4 décembre 2016. Je m’abonne pour une année au mensuel «  Espoir  » en versant la somme de €7.50 (étranger €13.50) sur le compte IBAN : BE52 0000 0513 2209 + BIC : BPOTBEB1 avec la mention «  abonnement Espoir  »

Après de nombreux mois de réno- de ces anciens vation et de préparation, les lieu- locaux en un tenants Marie et Michael Druart, bâtiment pratique, Nom  : officiers du Poste, ont regardé dynamique et coloré Prénom  : le colonel Daniel Naud, Chef de - prêt à servir les Adresse  : Territoire et Madame Catherine gens de cette ville, Delcourt, commissaire de l’arron- à répondre à leurs dissement de Liège, assistante du besoins spirituels et Localité  : Gouverneur, ouvrir officiellement pratiques. le bâtiment. Date  : Le dimanche, un Signature  : La salle était comble d’invités esprit de joie et de spéciaux   : les autorités locales, louange s’est égaA renvoyer à  : régionales… Au cours de cette lement fait sentir. Armée du Salut, rencontre, l’Armée du Salut fut Les membres du Service des abonnements, félicitée et l’espoir de travailler et Poste de Liège ayant 34, Pl. du Nouveau Marché-aux Grains, Catherine Delcourt, commissaire de collaborer ensemble dans le futur pris une part pré- l’arrondissement de Liège et le colo1000 Bruxelles Mike_Stannett@bel.salvationarmy.org a bien été souligné. pondérante dans nel Daniel Naud, Chef de Territoire, les réunions, ont inaugurent officiellement le nouveau Le major Mike Stannett, Officier été admirablement bâtiment Régional, responsable de la soutenus par les Belgique a fait référence à la croix Postes de Quade cinq mètres de haut, qui se regnon, Anvers et Bruxelles 2, d’école, ce nombre est passé à trouve au centre du bâtiment, et ainsi que les collègues officiers et environ 40 personnes. qui est visible à tous les étages du membres des Postes voisins. Poste  : «  L a croix au centre de ce Le Poste est maintenant installé bâtiment est symbolique. En effet, Quand les lieutenants Druart ont dans ses nouveaux bâtiments. Il elle est le centre de notre foi, de commencé leur service à Liège en est prêt pour le ministère et le notre service et le point central 2013, seules sept personnes fré- service à la communauté locale de nos vies.  » quentaient le Poste. Leurs efforts du XXIe siècle. au cours de ces deux dernières Des certificats de remerciements années portent leurs fruits  ! Au Major Ruth Stannett ont été remis aux personnes cours de l’année écoulée, bien que impliquées dans la transformation limité par l’emprunt d’une salle

Mensuel de l’Armée du Salut | Editeur responsable  : Major Mike Stannett, Pl. du Nouveau Marché-aux-Grains 34  | BE-1000 Bruxelles | Tél. 02 513 39 04 - Fax: 02 513 81 49 | Courriel  : Mike_Stannett@bel.salvationarmy.org | Internet  : armeedusalut.be, legerdesheils.be | Abonnement 1 an  : 7.5 (13,5   étranger) | Fondateur  : William Booth  | Général  : André Cox | Chef pour la Belgique  : Major Mike Stannett | Rédaction Berne: Florina German (responsable), Sébastien Goetschmann | Equipe de rédaction  :  Pierre-André Combremont / Marianne Hefhaf / Annelise Bergmann / Major Jacques Tschanz  | Concept graphique  : Didier Chassagnot | Mise en page  : Sébastien Goetschmann | Imprimerie  : Rub Media, Wabern | Tirage  : CH:  3 000 ex. BE :  2 000 ex. | Crédit photo  : P 1 & 2  : walt74_flickr.com, Sylvain Ménard_flickr.com, saaste_flickr.com ; P 3  : coffeego_ flickr.com ; P  4  &  5   : Jacques Tschanz ; P  7   : Armée du Salut Belgique ; P  8   :  mudricky_flickr.com  | L’Armée du Salut, mouvement international, appartient à l’Eglise chrétienne universelle. Son message se fonde sur la Bible. Son ministère est inspiré Membre de l’Union par l’amour de Dieu. Sa mission est d’annoncer l’Evangile de Jésus-Christ et de soulager, en son nom, sans distinction aucune, des Editeurs de la les détresses humaines. Presse Périodique

7


détente «  L’argent est très estimable, quand on le méprise.  » Montesquieu

Règle du jeu En partant des chiffres déjà inscrits, remplissez la grille de manière à ce que  : • chaque ligne • chaque colonne • chaque carré de 3x3 contiennent une seule fois les chiffres de 1 à 9. Pas besoin d’être fort en maths  !

Solution du Sudoku

Annoncer les rectifications d’adresses

Sudoku


Issuu converts static files into: digital portfolios, online yearbooks, online catalogs, digital photo albums and more. Sign up and create your flipbook.