Espoir 01/2017 - Les rois mages

Page 1

Mensuel de l’Armée du Salut - 127e année - N° 1 - 2017

Société

Les rois mages 

Jacques Tschanz

Etaient-ils vraiment trois  ? S’appelaient-ils Gaspard, Melchior et Balthazar  ? Etaient-ils magiciens, astrologues ou rois  ? Toujours est-il que le 6 janvier, on mangera une délicieuse pâtisserie, et, tradition oblige, sa fève couronnera le roi ou la reine de la journée. Mais d’où nous vient cette histoire vieille de plus de 2000 ans  ?

L

a genèse de l’histoire des rois mages se trouve dans la Bible, et uniquement dans l’Evangile selon Matthieu (voir en page 2). Tout d’abord, il y est question de «  mages  » (titre vague qui définit des personnes savantes, initiées, ou des prêtres) venus d’Orient. C’est assez flou, mais l’hypothèse qu’ils viennent de Perse ou d’Arabie est plutôt plausible. On ne connaît pas leur nombre, que la tradition a fixé à trois, seulement au troisième siècle. Comme il y a trois cadeaux (or, encens et myrrhe), la logique voudrait trois «  porteurs  ». Cependant le nombre des mages reste fluctuant, de huit à douze … suivant les régions. Au septième siècle, le manuscrit «  Extraits latins d’un barbare  » leur donne des noms   : Gaspard, Melchior et Balthazar. Dans les décennies qui suivent, on leur attribue à chacun une vertu philosophique  : éthique, logique et physique   ! Ce n’est qu’à partir du

Un cœur nouveau   page 3

Gaspard, Melchior et Balthazar, ce sont les noms qu’on a pour habitude de leur donner

dixième siècle, que les identités s’affirmeront, chacun y allant de son imagination. Les peintres ne seront pas en reste  : tantôt, représentant les âges de la vie, un jeune, un d’âge mûr et un vieillard. Tantôt, représentant les Continents connus de l’époque  : Europe, Asie et Afrique.

Les mages deviennent rois S’inspirant d’un passage ancien du prophète Esaïe (chapitre 60, verset 3), qui dit  : «  Les rois de Tarsis et des îles amèneront des offrandes, les rois de Séba et de Saba apporteront leur tribut. Tous les rois se prosterneront devant lui, toutes les nations le ser  page 2

Le temps de l'or blanc   pages 4-5


société

viront  », plusieurs Pères de l’Eglise donnèrent le titre de «  roi  » à ces mages, et du coup on leur attribua un royaume  : Melchior aurait été roi des Perses, Balthazar roi des Arabes, et Gaspard roi en Inde. L’important c’est le chemin Devant tant de mystères et de traditions, il est évident que le sens de ce texte n’est pas à trouver dans les personnages euxmêmes ou dans leur «  pédigrée  », mais dans leur aventure. Et là, de précieux renseignements nous sont donnés. Tout d’abord, ils se mettent en route parce qu’ils ont reconnu qu’un roi exceptionnel était né  ! Auparavant, d’humbles bergers se sont mis en route pour adorer Jésus à sa naissance. Pauvres, riches, ignorants ou érudits, ils se sont mis en route pour adorer le fils de Dieu venu dans notre humanité. Tous sont invités, étrangers ou non, à quitter leur zone de confort. Aujourd’hui encore, des hommes et des femmes, des enfants comme des vieillards de toutes nations et de toutes conditions sociales se mettent en marche

pour cette grande aventure de la foi  : s’approcher de la source de l’Amour divin qu’est Jésus-Christ, s’y connecter et être renouvelé, réconcilié, pour une vie nouvelle  ! Les rois mages, guidés par une étoile (le ciel se met à leur niveau et parle leur langage …) arrivent auprès de Jésus, la véritable lumière du monde. Ils lui offrent de l’or, de l’encens et de la myrrhe. Présents de grande valeur qui permettront à la famille de quitter le pays pour protéger leur fils du Roi Hérode qui veut le supprimer. Des mages on ne saura rien de plus, sinon qu’ils repartiront par un autre chemin afin de protéger la famille de Jésus dans sa fuite en Egypte. Et si vous avez l’occasion de visiter l’extraordinaire Cathédrale de Cologne (Allemagne), vous y verrez un coffre doré dont la tradition dit qu’il contient les restes de nos trois savants qui, un jour, se sont mis en marche pour adorer Jésus. Et vous, qu’auriezvous à perdre en vous mettant en marche  ? 

Jésus étant né à Bethléhem en Judée, au temps du roi Hérode, voici des mages d’Orient arrivèrent à Jérusalem, et dirent  : «  Où est le roi des Juifs qui vient de naître  ? Car nous avons vu son étoile en Orient, et nous sommes venus pour l’adorer.   » Le roi Hérode, ayant appris cela, fut troublé, et tout Jérusalem avec lui. Il assembla tous les principaux sacrificateurs et les scribes du peuple, et il s’informa auprès d’eux où devait naître le Christ. Ils lui dirent  : «  A Bethléhem en Judée ; car voici ce qui a été écrit par le prophète  : ‹  Et toi, Bethléhem, terre de Juda, tu n’es certes pas la moindre entre les principales villes de Juda, car de toi sortira un chef qui paîtra Israël, mon peuple.  ›  » Alors Hérode fit appeler en secret les mages, et s’enquit soigneusement auprès d’eux depuis combien de temps l’étoile brillait. Puis il les envoya à Bethléhem, en disant  : «  Allez, et prenez des informations exactes sur le petit enfant ; quand vous l’aurez trouvé, faites-lemoi savoir, afin que j’aille aussi moi-même l’adorer.  » Après avoir entendu le roi, ils partirent. Et voici, l’étoile qu’ils avaient vue en Orient marchait devant eux jusqu’à ce qu’étant arrivée au-dessus du lieu où était le petit enfant, elle s’arrêta. Quand ils aperçurent l’étoile, ils furent saisis d’une très grande joie. Ils entrèrent dans la maison, virent le petit enfant avec Marie, sa mère, se prosternèrent et l’adorèrent ; ils ouvrirent ensuite leurs trésors, et lui offrirent en présent de l’or, de l’encens et de la myrrhe. Puis, divinement avertis en songe de ne pas retourner vers Hérode, ils regagnèrent leur pays par un autre chemin. La Bible, Evangile de Matthieu, chapitre 2, versets 1 à 12.

Les mages sont venus de loin pour offrir leurs présents à Jésus

2


évangile

Un cœur nouveau   Sébastien Goetschmann

Dans la Bible Je vous donnerai un cœur j’ôterai de votre corps le nouveau, et je mettrai en cœur de pierre, et je vous vous un esprit nouveau  ; donnerai un cœur de chair.

La Bible, Livre d’Ezéchiel, chapitre 36, verset 26

C

haque année, les germanophones, par l’intermédiaire de la Communauté de travail œucuménique pour la lecture de Bible, choisissent un Jahreslosung, c’est à dire le verset de l’année. En 2017, il s’agit de ce passage en Ezéchiel, où Dieu s’adresse à son peuple, Israël, qui s’était rebellé contre Lui. Le Seigneur offre aux Israëlites la possibilité de faire table rase du passé, de repartir à zéro, du bon pied.

En début d’année, nous profitons habituellement de prendre de bonnes résolutions, plus ou moins sérieusement. Il n’empêche qu’un cycle se termine et qu’un nouveau commence. C’est un moment propice pour remettre les choses à plat, pour poser de nouvelles bases saines. Et c’est exactement ce dont nous parle ce verset. Dieu nous propose de changer, de renouveler notre cœur, peutêtre endurci par les déceptions, la souffrance autour de nous, les trahisons, ... Il propose de débuter une œuvre nouvelle en nous  : une œuvre d’amour qui dépasse toute notre compréhension, car Dieu est Amour.

Dieu nous offre son amour et désire aussi nous en remplir pour que nous le partagions

Celui qui croit et qui accepte Jésus-Christ dans sa vie reçoit un cœur nouveau, une identité nouvelle. Un processus de recréation à l’image de Dieu se met en route. Dieu donne ce cœur nouveau à quiconque croit humblement comme un petit enfant, de manière simple et authentique. Il purifie alors nos pensées et

nos émotions, il nous lave de nos fautes. Si nous désirons profondément obéir à sa volonté, nous recevrons ce cœur plein de foi, plein d’amour et une nouvelle identité d’homme libre. Aujourd’hui est peut-être le jour d’un nouveau départ.

3


réflexion

Le temps de l'or blanc Quelle magnifique découverte ce matin  ! Alors que je rédige ces lignes, la première neige est tombée durant la nuit, offrant à la nature un nouveau décor lumineux et joyeux après la triste grisaille de cette fin d’automne avec ses pluies et ses brouillards monotones.   Pierre-André Combremont

L’arrivée de la neige réjouit petits et grands

Les enfants vont pouvoir s’en donner, dans ce tapis de coton dont on peut faire des boules à se jeter, batailles animées et pacifiques. Si la couche est assez épaisse, il sera possible d’en façonner des cubes qui permettront de construire les murs de fortins éphémères ou de maisons fantaisistes. Que de beaux souvenirs pour les plus anciens  ! Sans tarder, il faut ressortir les luges pour pouvoir dévaler les pentes. Déjà, les stations de montagne mettent en service les installations de remontées mécaniques, afin de pouvoir transporter vers

4

les sommets des pistes les milliers de skieurs qui n’attendaient que ce retour de la neige pour s’adonner à leur sport favori. Les paysans de montagne retrouvent leurs emplois saisonniers, les uns dans l’aménagement et l’entretien des pistes, les autres pour faire fonctionner télécabines et autres téléskis, tandis que les maîtresnageurs et gardiens de plages se muent en professeurs de sport pour enseigner le ski, le snowboard et autres plaisirs que procure cette neige qu’on appelle volontiers l’or blanc. Les offices du tourisme et l’hôtellerie d’altitude sont prêts à accueillir les foules de vacanciers avides de profiter des bienfaits de la montagne. Tous ne peuvent cependant pas jouir directement des joies des sports de glisse, mais les divers médias ne se privent pas de faire profiter un très large public des performances des champions. Des heures d’émissions de télévision et des pages entières dans les journaux rapportent les exploits réalisés en slalom, géant, super-G, descente, free ride, saut, fond et combien d’autres spécialités en sports alpins ou nordiques, lors de compétitions nationales, mondiales ou olympiques. Pour le plaisir des spectateurs et  … animer les discussions lors de la pause-café au bureau  !

Mais la neige n’est pas que source de plaisirs. Si sa couche protectrice contre le gel est bienfaisante pour l’agriculture, il n’en va pas de même pour la voirie. Sa présence sur les routes rend les chaussées glissantes et dangereuses pour les véhicules qui ne sont pas équipés en conséquence. Afin d’assurer la sécurité de la circulation, les services des routes mettent en marche camions et chasse-neige pour éliminer ces couches indésirables ou les faire fondre en épandant des milliers de tonnes de sel. Pour prévenir la formation de congères, ces amas de neige poudreuse qui se forment sur les chaussées sous l’effet du vent, des barrières en bois sont disposées en automne déjà aux endroits exposés. Mais il n’y a pas que les routes, il faut aussi libérer les pistes des aéroports et les voies de chemin de fer. Là, on peut voir, sur les lignes de montagne, entrer en action des machines rotatives qui projettent au loin des panaches impressionnants de poudre blanche. Il importe aussi de protéger toutes ces voies de circulation contre les avalanches. En effet, la neige ne tombe pas partout en couches uniformes et homogènes. Selon les variations de la température, de l’humidité de l’air, la consistance du manteau neigeux peut varier d’une heure à l’autre et d’un endroit à l’autre,


réflexion

parfois à de très faibles distances les unes des autres. Elles ne sont pas une spécialité des Alpes, il peut s’en produire dans toutes les parties du globe terrestre. Une avalanche peut se déclencher quand une épaisse couche de neige fraîche recouvre une autre couche de neige devenue fragile sous l’effet de gel apparu après un radoucissement de la température. Les spécialistes de l’Institut pour l’étude de la neige et des avalanches observent en permanence les variations météorologiques des zones à risques connues, donnent l’alarme aux différents organismes qui prennent les mesures de prévention nécessaires afin d’éviter des catastrophes et même des accidents moins graves. Car, quand l’avalanche se déclenche, puissante et rapide, rien ne peut l’arrêter sur son passage.

ritournelles. Pourquoi cet enchantement  ? Sans doute parce chaque flocon, bien qu’éphémère, est une merveille artistique, comme une œuvre de cristal. Nul n’est pareil à un autre et pourtant tous sont formés par le même phénomène d’une infime goutte de pluie évaporée qui, frappée par le froid, se gèle en des formes variables à l’infini. Chose étonnante que ces minuscules particules d’air et d’eau puissent ainsi devenir compactes et recouvrir la nature et les choses de ce revêtement blanc qui provoque tant de joie parmi les gens. De tout temps, elle a inspiré des poètes et on en trouve même des mentions dans la Bible. Entre autres, le prophète Esaïe, quand il enseigne au peuple à faire le bien et revenir dans le bon chemin, lui dit  : «  Venez, nous allons discuter. Même si vos péchés ont la couleur du sang, ils prendront la couleur du lait. S’ils sont rouges comme le feu, ils deviendront aussi blancs que la neige.  »* Et qui ne connaît pas ce traditionnel chant  : «  Blanc plus blanc que neige …  »  ?

L’image de la neige reste pour moi cependant un objet de plaisir. Quand ses flocons descendent du ciel en virevoltant dans le vent, ils émerveillent petits et grands tant ils font penser à un ballet géant, léger et aérien. Pas de chorégraphie pour eux ni de *La Bible, livre du prophète Esaïe, grands airs d’opéra mais ils ont chapitre 1, verset 18 inspiré nombre de chansons et de

Blanc, plus blanc que neige Jésus par ton sang précieux, Enlève mon iniquité  ! Regarde-moi du haut des cieux, Dis-moi que tu m’as pardonné ... J’ai longtemps erré cœur rebelle, Mais j’entends ta voix qui m’appelle, Au pied de ta croix, maintenant, Tout confus, brisé, je me rends. Refrain 1 Blanc, plus blanc que neige, Blanc, plus blanc que neige, Lavé dans le sang de l’Agneau, Je serai plus blanc que la neige  ! Oh ! Le fardeau de mon péché, Dieu très saint est trop grand pour moi  ! Je veux en être délivré, A cette heure, oh  ! Révèle-toi  ! Jésus viens, sois ma délivrance, Seul tu peux calmer ma souffrance  ! Au pied de ta croix, maintenant, Tout confus, brisé, je me rends. Oh  ! Jésus ton sang précieux, A lavé mon iniquité, Oui, tu m’as répondu des cieux, Ton amour m’a tout pardonné. Je te contemple et je puis croire, Qu’en toi j’ai complète victoire ... Au pied de ta croix, maintenant, Je me relève, triomphant. Refrain 2 Blanc, plus blanc que neige, Blanc, plus blanc que neige, Lavé dans le sang de l’Agneau, Mon cœur est plus blanc que la neige  !

5


à bien y penser ...

Sans tambour ni trompette Kairos

Le dessinateur Alain Auderset nous invite à la réflexion. Chaque mois vous trouverez une nouvelle BD à cet endroit.

Comme le temps passe vite  ! Nous voilà déjà au seuil d’une nouvelle année. Aurons-nous l’opportunité en 2017, de vivre pleinement et … tranquillement les événements heureux qui émailleront notre existence  ? Je suis assez dubitative, la mécanisation, l’industrialisation et maintenant la numérisation ayant inexorablement actionné l’accélération du temps. Chronos, le temps qui passe, mange ses enfants de plus en plus vite. Heureusement il est un temps qui ne varie pas et qui reste immuablement le même, c’est le «  Kairos  », le temps de l’Esprit, celui de l’opportunité, du «  bon  » moment, du «  juste  » temps. Ce temps-là n’est pas mis à mal par la boulimie humaine, il est et reste strictement entre les mains du Tout-Puissant qui décide, lui, du «  quand  » et du «  comment  ». Avec Dieu, le temps, le Kairos, est entre de bonnes mains, car le «  Tout-Autre  » n’est ni pressé ni impatient … L’Eternité lui appartient. Il y a peut-être des choses que nous souhaitons ardemment pour cette année 2017, qui s’ouvre devant nous. Osons les demander avec audace, le Père céleste aime les requêtes de ses enfants. Et puis … patience  ! Dieu, le grand maître du Kairos, connaît le juste temps de la réalisation  : avec lui, «  chaque chose en son temps  ».

Marianne Hefhaf

6


infos

Inauguration du Centre de formation Samedi 22 octobre, la Journée portes ouvertes au Centre de formation de l’Armée du Salut a attiré environ 150 visiteurs dans ses nouveaux locaux, à Bienne.

Les familles et amis des cinq Cadettes, mais également de nombreux membres des Postes, officiers à la retraite et plusieurs jeunes, sont venus découvrir à quoi ressemble le nouveau Centre de formation et le nouveau cursus de formation des officiers. Des visites guidées étaient proposées par groupes linguistiques, les enseignants du Centre de formation ont expliqué les contenus des programmes, et les responsables de la formation continue et du Secrétariat des candidats pouvaient être interrogés. A 11h00, deux douzaines de personnes ont pris place dans la salle de classe, pour assister à une leçon test, durant laquelle les nouveaux moyens techniques du Centre de formation ont pu être utilisés. Lors de la cérémonie d’ouverture officielle, à 14h00, le commissaire Massimo Paone a dépeint le courage dont l’équipe de l’Ecole et la Direction nationale de l’Armée du Salut ont dû faire preuve pour passer de Bâle à Bienne, et pour remanier totalement le concept de la formation. Présent tout spécialement pour l’occasion, le

Oui, je m’abonne pour une année au mensuel «  Espoir  » pour la somme de CHF 48.– (CHF 67.– étranger)

Nom  : Prénom  : Adresse  :

Localité  : Date  : Signature  : A envoyer à  : Armée du Salut, Service des abonnements, Case postale, 3001 Berne redaction@armeedusalut.ch

150 visiteurs ont découvert le nouveau Centre de formation de l’Armée du Salut, qui se trouve désormais à Bienne

Conseiller municipal Beat Feurer, directeur des affaires sociales et de la sécurité de la ville de Bienne, a souhaité la bienvenue au Centre de formation en ces termes  : «  L’école d’officiers vient à Bienne ; c’est une good news  !  », se référant à la chanson de session «  We’ve got good news  », que les Cadettes avaient entonnée. Dans la prière, la commissaire Jane

Paone a inauguré le Centre de formation. Son désir, auquel toute l’équipe de l’Ecole se joint, est que cet endroit soit un lieu de bénédictions pour beaucoup de gens. Major Daniel Imboden

Découvrez désormais toutes les nouvelles concernant l’Armée du Salut sur info.armeedusalut.ch

Mensuel de l’Armée du Salut | Laupenstrasse 5 | Case postale | CH-3001 Berne | Tél. 031 388 05 91 - Fax  : 031 382 05 91 | Courriel  : redaction@armeedusalut.ch | Internet  : armeedusalut.ch | CP: 30-3117-4| Abonnement 1 an  : CHF 48.-, CHF 67.- (étranger), CHF 72.- (par avion) | Fondateur  : William Booth | Général  : André Cox | Chef de territoire  : Commissaire Massimo Paone | Rédaction Berne: Florina German (responsable), Sébastien Goetschmann | Equipe de rédaction  : Pierre-André Combremont, Yverdon-les-Bains / Marianne Hefhaf, Lausanne / Annelise Bergmann, Suchy / Major Jacques Tschanz, La Tour-de-Peilz  | Concept graphique  : Didier Chassagnot | Mise en page  : Sébastien Goetschmann | Imprimerie  : Rub Media, Wabern | ­Tirage  : CH  :  3000 ex. BE  :  2000 ex. | Crédit photo  : P 1 & 2  : Yuki-chan Photographer_flickr.com, Jackie TL_flickr.com, Wilson Severino_flickr.com ; P 3  : Solea20_flickr.com ; P  4  &  5   : Fon-tina_flickr.com, Giorgio Quassi_flickr.com ; P  7   : Daniel Imboden ; P  8   :  Cosmic Smudge_flickr.com  | L’Armée du Salut, mouvement international, appartient à l’Eglise chrétienne universelle. Son message se fonde sur la Bible. Son ministère est inspiré par l’amour de Dieu. Sa mission est d’annoncer l’Evangile de Jésus-Christ et de soulager, en son nom, sans distinction aucune, les détresses humaines.

7


détente

«  Un homme qui ne marche pas ne laisse pas de traces.  » Georges Wolinski

Règle du jeu En partant des chiffres déjà inscrits, remplissez la grille de manière à ce que  : • chaque ligne • chaque colonne • chaque carré de 3x3 contiennent une seule fois les chiffres de 1 à 9. Pas besoin d’être fort en maths  !

Solution du Sudoku

Annoncer les rectifications d’adresses

Sudoku


Issuu converts static files into: digital portfolios, online yearbooks, online catalogs, digital photo albums and more. Sign up and create your flipbook.