1 minute read

NOUVEAU

GRIET MAES (44 ANS) SINT-NIKLAAS ENSEIGNANTE ROULE À L’ÉLECTRICITÉ DEPUIS 2014

En 8 ans, nous n’avons eu aucun véritable problème

Griet Maes circule au volant d’un véhicule électrique depuis 2014.

Elle en est à sa deuxième BMW i3. Chaque année, elle parcourt quelque 13.000 km. Il s’agit essentiellement du trajet domicile-travail (35 km aller et retour) et de petites sorties à l’intérieur de nos frontières.

Quelle sera sa prochaine voiture?

“Une électrique, sans aucun doute. À l’heure actuelle, je ne connais pas de meilleure alternative sur le plan environnemental.”

La conduite électrique ne suscite-t-elle pas un grand malentendu?

“En effet. Les gens se demandent parfois s’il m’arrive de tomber à court de batterie. Comme tous les automobilistes qui consomment du carburant normal, il suffit de vérifier la jauge. (Rires) Certains estiment aussi que le véhicule est trop silencieux. Mais je crois que les bruits de roulement s’entendent suffisamment.” Le principal inconvénient? “Le recyclage d’un véhicule électrique coûte cher. Mais on peut en dire autant de nombreux appareils. Il faut aussi faire preuve de prévoyance, étudier le trajet à l’avance pour pouvoir compléter la charge en cas de besoin. On s’habitue vite. Notre rêve, c’est de pouvoir aller jusqu’en Italie à bord d’une future voiture électrique. Mais ce ne sera pas pour tout de suite, je le crains.”

Les frais d’entretien? “Euh … remettre du liquide de lave-glace? Et brancher périodiquement la voiture sur l’ordinateur pour faire un diagnostic. C’est à peu près tout. Notre première BMW i3, dont le rayon d’action est plus petit mais amplement suffisant pour mes navettes domicile-travail, est toujours en service. En 8 ans, elle n’a eu aucun véritable problème. Et la batterie? Rien à signaler. Bref, une voiture de ce type est peut-être plus chère à l’achat, mais dans la durée, je serais curieuse de comparer les budgets.”