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MODES DE DÉPLACEMENT

TOUT LE MONDE NE PREND PAS SA VOITURE POUR SES DÉPLACEMENTS. AUJOURD’HUI IL EXISTE UNE FOULE DE SOLUTIONS. DANS CETTE RUBRIQUE, NOUS NOUS PENCHONS SUR LA MOBILITÉ ALTERNATIVE. ÉPISODE 3: LA MONOROUE.

LARISSA DE WULF 44 ANS BRUXELLES

LES PLAISIRS DE LA MICROMOBILITÉ

Cela fait plus de 10 ans que Larissa De Wulf habite Bruxelles. Autant dire qu’elle sait à quel point notre capitale a encore des progrès à faire sur le plan de la mobilité. Pour ce qui la concerne, les transports publics ont été et restent une source quotidienne de frustration. Prendre plusieurs trams pour aller travailler, cela finit par peser. Il y a huit ans, elle a essayé le vélo, mais l’infrastructure bruxelloise ne lui a pas apporté le sentiment de sécurité qu’elle espérait. Puis vint l’expérience du scooter, et il y a trois ans, Larissa a fait l’acquisition d’une trottinette électrique. Pas satisfaisant non plus. En montée, elle se faisait rattraper par les cyclistes. À l’époque, concède-t-elle, elle aurait peut-être pu acheter une trottinette de meilleure qualité. Ce fut ensuite le tour de la monoroue. Cette fois, le résultat était nettement plus concluant. “Grâce à ma monoroue, mes déplacements en ville sont redevenus un plaisir! L’engin est compact et silencieux. Avec deux mains libres, vous pouvez facilement indiquer votre direction. Et la roue est assez grande pour franchir des obstacles comme la bordure d’un trottoir.” Larissa porte toujours un casque et souvent d’autres protections pour écumer les rues de Bruxelles sur son engin. “Il est aussi primordial d’être vu”, ajoute-t-elle. Envie d’en savoir plus sur cette forme de micromobilité? Rendez-vous sur Belgium Wheelers, une initiative à laquelle Larissa participe: www.belgiumwheelers.club.