Mcnde, le 8 août 1857.
ÉVÊCHÉ DE
MENDE.
Mon cher Monsieur Bélières, J'ai lu avec plaisir et édification votre non-seulement parce qu'elle a été tracée et racontée par une main qui m'est chère, mais encore parce quelle est bien belle et bien touchante. On y voit, ce me semble, un reflet de cette grâce toutepuissante, qui, presque dans les mêmes contrées, avait autrefois donné à l'Église une R O S E DE L I M A , la merveille du NouveauMonde.
VIE D'ANNE G E R T R U D E ,
Votre livre fera du bien, et un grand bien; c'est tout ce que vous ambitionnez dans le zèle qui vous anime. J.-A.-M., Évêque de Mende.
A M. l'abbé Bélières, miss. apost.