3 6 0 ) -
- ( "
les
Portugais, par une
ont toujours eu
fausse
interprétation
la prétention d'assigner
du traité
d'Utrecht,
rivière comme
cette
limite à la Guyane française». O r la rivière dont il parle est l'Oyapoc du cap d'Orange. Il en résulte qu'il donne tort au Portugal.
60
e
TITRE
Picquet.
—
DU
BRÉSIL.
Dictionnaire
Les auteurs
à 1828, disent qu'«
de
géographique
de Kilian
ce dictionnaire,
qui
et
remonte
après avoir regardé longtemps la rivière de
Vincent Pinçon comme identique avec l'Oyapok, on a cru la retrouver plus au Sud clans une rivière qui a son embouchure près du cap Nord par 1° 5 5 ' de latitude boréale, et qu'on nomme aussi Ayapok". Nous sommes surpris qu'on voie là un argu ment pour le Brésil.
61e
TITRE
DU
BRÉSIL.
Mémoire
du baron
Walckenaer.
—
La
question du Carapapori, dont il s'agit ici, a été traitée, p a g e , 362,
in
fine,
3 6 3 et 364 du m é m o i r e français, auquel
nous
nous référons. Un mot seulement pour faire r e m a r q u e r Da
la tendance de
Silva à vouloir ranger quand m è m e parmi ses partisans les
adversaires les plus déclarés de la prétention brésilienne, Ainsi fait-il pour Walckenaer, parce que celui-ci a prononcé quelque part le nom de " vieille Guyane française» et a dit que l ' e m bouchure du Vincent Pinçon fut longtemps inconnue. Q u ' i m porte, puisque l'écrivain brésilien reconnaît que pour W a l c k e naer la limite d'Utrecht est la rivière de
Vincent Pinçon,
connue
des naturels sous le nom de " Y a p o c » et que les Brésiliens n o m ment aujourd'hui
Garapapoury?