-•!•>(
se sert
de
nouveau
des
338
)•«-$—
interpolations
de Santarem.
Nous
croyons superflu de revenir sur ce sujet qui est épuisé.
36°
TITRE
l à février
DU B R É S I L .
1713.
-
Lettre
Déjà au
plénipotentiaires
des
cours
portugais
du
de cette réplique,
nous
avons examiné la lettre dont il s'agit ici, ainsi que celle des plénipotentiaires français. Nous ne pouvons que renvoyer à nos observations antérieures.
37
e
T I T R E DU B R É S I L . —
L e Traité d'Utrecht.
— Il est fort difficile
de suivre Da Silva dans ses dissertations. Nous ferons cependant en sorte de dégager ses arguments principaux des développe ments qu'il consacre au traité de 1 7 1 3 . En admettant, dit-il, qu'il y ait deux incontestable
Vincent. P i n s o n ,
que le Vincent Pinson de l'acte
d'Utrecht
celui des Portugais. Nous répondrons qu'il y avait Oyapocs,
il est est
plusieurs
mais non plusieurs Vincent Pinson. Il n'y a jamais
e u , en effet, pour les Portugais eux-mêmes pris dans leur en semble, qu'un seul Vincent Pinson, celui du Cap de N o r d , le Bio
Fresco
du M é m o i r e de
1 6 9 8 ,
le Vincent Pinson de la carto
graphie, qui est un, tandis qu'à
la fin du X V I I
e
siècle, on
compte jusqu'à trois Oyapoc ou Yapoc et m ê m e davantage clans les parages de la Guyane. ( V o i r le M é m o i r e français, p . 47, et le résumé de l'exposé géographique de ce M é m o i r e , p. 3 6 1 et suivantes. Voir également plus haut le chapitre spécial que nous avons consacré à cette question (1).) A cette dont
occasion, Da Silva reprend la série des arguments
nous avons successivement fait apparaître
1) Voir plus haut, pages 21a et suivantes.
l'inexactitude