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l'un, sur la rive même de l'Araguary; les autres,
au sud de
de ce fleuve.
34e
TITRE
DU
BRÉSIL.
Demandes
spécifiques
du Portugal,
1712.
- Ce sont toujours les mêmes expressions qui reviennent, ra menant les mêmes traductions inexactes et les mêmes c o m mentaires non moins contestables. Nous croyons superflu
de
reproduire des explications déjà données.
35e
TITRE
DU
BRÉSIL,
de navegar,
Arte
de Pimentel.
La
fixation de latitude du « R i o Oyapoc ou de Vicente Pinson", faite par Pimentel dans l'édition de 1 7 1 2 de son est
une
Arte de
navegar,
simple énouciation qui n'est accompagnée d'aucune
démonstration
scientifique ou géographique. Au cours
d'une
liste de latitudes. Pimentel place à 4° 0 6 N . un rio Oyapoc ou de Vicente Pinson. Ayant trouvé à l'article 1
e r
du traité provisionnel de 1 7 0 0
un rio de Oiapoc ou de Vicente Pinson et avant à le placer, il l'a mis à l'endroit où il existait incontestablement un Oyapoc, soit qu'il ait ignoré qu'il en existait plusieurs,
soit qu'il ait
voulu sciemment poser en cet endroit ce que Da Silva appelle « u n e pierre d'attente.". Nous savons du reste par deux notes officielles des 1 7 janvier et 1 6 février
1 8 1 5 (voir les annexes au mémoire français,
p. 1 1 0 - 1 1 3 ) , que les plénipotentiaires portugais au Congrès de Vienne ont déclaré qu'il y avait eu, en 1 7 1 3 , confusion entre deux rivières différentes, celle d'Oyapoc et celle de V i n cent
Pinson. C'est de cette confusion, plus ou moins accom
pagnée d'arrière-pensées, que Pimentel s est fait l'êcho. Pour appuyer l'argument qu'il emprunte à Pimentel. Da Silva CONTESTÉ BRÉSILIEN.
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