Elle s'agenouille près du cadavre, «le soutient dans ses bras, le contemple longtemps, avec amour, avec ivresse. Je te l'avais promis, dit-elle tout ! bas, à toi seul mon cœur, mon amour, ma vie ! Unis pour toujours, nul ne peut désormais nous séparer. i L Elle se couche près d'Autou, l'emj brasse et pose sa tête sur le sein glacé de son ami. — C'est le lit nuptial, murmure-telle. ; Comme Ophélie morte en cueillant des fleurs, elle meurt du baiser qu'elle a donné. LÉON
FIN.
BELMONT.