étaient convoqués et se faisaient un véritable devoir d'y assister. Au faîte d'une toubana on hissait le hamac dans lequel le récipiendaire restait trois jours entiers sans boire ni manger pour s'habituer aux tortures que pouvaient lui faire subir les ennemis dans le cas où il deviendrait leur prisonnier. Ces trois jours écoulés, on l'emmenait au milieu de la les guerriers les plus renommés et, autant que possible, sortir vainqueur de la lutte. Des juges étaient nommés ] qui l'observaient, prenaient note des j moindres coups reçus ou donnés par lui et étaient chargés de prononcer sur l'épreuve. 1
(A Suivre).
■
i • '