qu'on ve
( 397 ) congédier. Il falloit indis-
pensables femmes Pour rem
pcurer à ces hommes des laborieuses et instruites. ut, les administrateurs de la
Guiane. pour pre ou tren
dèrent au gouvernement, et i, un nombre de vingt-cinq ines qui eussent pu passer à
peu de •
ans le cas où cette tentative
auro
on eût eu recours au même
moyen ,
eût pu former de nouveaux
établiss ne fit a
lans cette vaste colonie : on attention à cette proposition'
intéres eussen
ni à beaucoup d'autres qui ncourir à l'avancement et à
l'amél Il été
du pays. ble que ces établissemens ont ou abandonnés , et que la plulancs dont ils étoient la ressource, quitté la colonie.
Les nègres étoient au nombre de neuf mille dans la Guiane française. Le citoyen Lescallier nous apprend , qu'en 1788, le ministère le consulta sur la possibilité de détruire l'esclavage. Cet administrateur déclare qu'il lui annonça, qu'on devoit craindre dans les colonies les plus fâcheux événemens , si, par des moyens insensibles, on ne disposoit les