( 28 ) BERREDO,
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e
LECTURE
§§
1875-1876
do Conselho de Sua Magestade, Governador, e Capi-
taõ General, que foy do mesmo Eslado, e de Mazagaõ. Lisboa. FRANCISCO LUIZ A M E N O .
M. DCC. XLIX. » In-f°, 683 pages de
texte. Bibliothèque impériale de Paris, Fol. 0. 1055. Ils ont été reproduits dans une seconde édition du m ê m e ouvrage, imprimée à M a r a g n a n , en 1849-1851, aux frais de M . le D P E D R O N U N E S L E A L . Et M. D ' A V E Z A C les a donnés en français dans son travail de 1857, page 210 du Bulletin de la Société de Géographie de Paris, 122 du tirage à part. R
1875. Ce titre fondamental fut produit en 1699, par le cabinet de Lisbonne, dans la discussion qui précéda le Traité de 1700. Et le président R O U I L L É , ambassadeur de Louis XIV, reconnut que la rivière marquée dans ce document c o m m e limite septentrionale du Brésil, était bien l'Oyapoc, la rivière du Cap d'Orange. Il prétendit seulement que la donation était caduque, parce que, disait-il, la prise de possession n'avait pas été suivie d'habitation actuelle. 1876.
Le m ê m e titre a été allégué en 1855, par M. le dans la conférence de Paris. Et M. le B A R O N D E B U T E N V A L , Plénipotentiaire de France, a cru préférable cette autre réponse :
VICOMTE D E L'URUGUAY,
« Il semble au Plénipotentiaire Français que l'honorable Plénipotentiaire du Brésil arrive à prouver seulement, ou que le Roi P H I L I P P E IV, non content des couronnes de Por tugal et d'Espagne, cherchait encore à usurper sur celle de France(*); ou (ce qui est plus vraisemblable) que les
(*) Il faut r e m a r q u e r
ici, puisqu'on
a parlé d'usurpation, que le
littoral de la G u y a n e et le fleuve S a n t a M a r i a d e la M a r D u l c e , o u M a r a ñ o n , puis A m a z o n e s , furent découverts dès le xv° siècle TITRE
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