L'Oyapoc et l'Amazone : question brésilienne et française. Tome second

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e

§ 2203

17

LECTURE

( 213 )

Ce mot constate, bien explicitement, que le Portugal n'a jamais varié dans son interprétation de l'article 8 du Traité d'Utrecht. Et il constate implicitement, que la France elle-même entendait d'abord, par la rivière de Japoc Pinson

ou de

Vincent

du Traité d'Utrecht, la rivière du Cap d'Orange.

2203.

Quand M. D E S A I N T - Q U A N T I N a dit,

page 324 de

la Revue Coloniale, 77 du tirage à part, que depuis l'année 1724

« les Portugais ont imaginé de contester les résul­

tats du Traité d'Utrecht », l'honorable écrivain oubliait donc l'article 107 de l'Acte de Vienne. L'honorable M. D E B U T E N V A L oubliait également l'article 107

de l'Acte de V i e n n e , quand il disait, à la quatrième

séance, page 54 des Protocoles : « Ce que le Plénipotentiaire Français nie aujourd'hui, c o m m e tous les représentants de la F r a n c e l'ont fait antérieurement et chaque fois qu'une telle assertion s'est produite, c'est que le fleuve que le Plénipotentiaire Brésilien désigne aujourd'hui Vincent-Pinson, ait été, et accepté c o m m e tel.

soit en 1700,

»

TITRE

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c o m m e le

soit en 1713,

connu


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