iij On me reprochera peut-être
de m'être un peu trop
étendu sur la Guyanne hollandaise ; mais j'ai devoir le faire çaise, pour
dans
stimuler,
l'intérêt
cru
de la Guyanne
s'il est possible,
fran-
nos indolens
Cayennais. Nota. Au moment de livrer cet opuscule à l'impressionne
reçois de M. Noyer,
ancien
ingénieur
géographe,
membre de la société de qéoqraphie
Paris, chevalier de l'ordre royal de la Légion neur, dont j'aurai
occasion de parler,
un
d'un nouvel ouvrage qu'il vient de publier,
de
d'hon-
exemplaire ayant pour
titre : Forêts vierges de la Guyanne ( 1 ) , dont le but est, dit l'auteur,
«d'éclairer
les spéculateurs
» bonne foi, qui avec des capitaux
voudraient
» des entreprises de ce genre à la Guyanne, » mettre
en garde contre ces projets
de faire
et de les
giqantes
» aussi dangereux pour ceux qui les conçoivent,
ques, que
» funestes au pays même sur lequel ils tendent à jeter » de la défaveur.
»
Je crois donc intéresser la fin de cette brochure 2
le lecteur en donnant
la copie du catalogue
espèces de bois les plus connus de la
dont M. Noyer fait une savante
a des
Guyanne,
description.
(1) Imprimé à Paris, chez M. Huzard, rue de l'Eperon, n.° 7.