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avant
d'aborder
intertribal
celle-ci,
survenus
-
j'examinerai
après
deux autres
cas de métissage
1840.
1) LES RELATIONS INTERTRIBALES
Le premier du bas Oyapock nécessite
et de l'bpprouague,
une présentation
confluent
p.
descendants
Notaye,était
de plusieurs
ethnies
de Saint
Paul
graient
en outre,
depuis
la fin
libérés
parlant
il
essentiellement
le fond culturel tupi,
la Lingua
à 65 personnes, recueillies
alors
jadis
du XVIIIe
des premiers
et
sauts
vu précé-
aux abords
Foy de Camopi.
siècle,
des
Ils
inté-
des éléments
divers
Indiens
Quoiqu'ils
au
à l'époque
installées
mulâtres),
Geral.
de la côte,
fussent
très
:
métis
déculturés,
des écrits
de THEBADLT DE LA MONDERIE, que
subsistait
chez eux et en particulier
amérindien
le chef Alexis
diversifiée,
comme nous l'avons
et de Sainte
ou, déjà,
brésiliens ressort,
très
des Indiens
(1) qui représentaient
Piriu
jésuites
(esclaves
habité
181) par les
missions
Noirs
est d'origine
1819, le moyen Oyapock,
de la rivière
demment (cf.
celui
détaillée.
Vers
les
de ces deux groupes,
étant
même unilingue.
que,
selon
la langue
En 1840, BAGOT estime
la compilation
par THEBADLT en 1819 et 1822, ils
ce groupe
des données démographiques devaient
encore
atteindre
la centaine. En 1830, ADAM DE BADVE et FERRE signalent groupe
indien
les Wayapi. étaient
installé
au Saut Keimou
Dans son rapport
sortis
vingt
de 1849, BAGOT explique
ans plus
immi.ation entre 1825 et -------------_--------------
(KEimukwal&),
tôt
de l'Approuague,
1830. L'origine
un nouveau
entre
les
Piriu
clairement
qu'ils
ce qui place
cette
de ces Indiens
estimés
(1) Quelques auteurs, comme BAGOT, conscients de l'assimilation de ce groupe,les désignent de l'appellation vague d'"Indiens
et
à 28
profonde Créoles".