portugaise
au sud,avait
tation
des côtes,
nait,
la carte
soit
ethnique
LEIGH (1606)
daises, plus
directement
indirectement
par les migrations
de l'Amérique
forestière
par la fréquenqu'elle
entraî-
; le voyageur
Charles
des Indiens
Yayo chassés
Les sources
sont
pas,
de Trinidad
à l'embou-
par les
?
anglaises
et françaises
que correspondances,
descriptif ront
soit
(WILLIAMSON, 1923, p. 29) ne rencontra-t-il
chure de l'oyapock, Espagnols
déjà bouleversé,
réel.
largement
principal
est
très
principalement,
elles
présentent
Moyennement utiles utilisées
d'origines
Récits
pour le présent
de leurs
un intérêt
travail,
et des sauvages.
elles
se-
postérieurs.
Leur défaut
auteurs,
la Guyane n'ayant
pas eu son JEAN de LERY ou son YVES d'EVRBUX pour peindre de la nature
hollan-
de découvreurs
obligatoirement
dans nos travaux
le manque de talent
variées,
Les principaux
auteurs
les
fastes
de cette
époque
sont MOQUBT, RALEIGH et BIET.
De 1650 à 1790 l'essentiel est
constitué
par la correspondance
et les ministres
compétents.
sur des centaines
de documents,
A quelques
pour l'histoire
de la colonisation
fallait
au poids
mesurer
gouverneurs
entre
ce type
fonctionnaires
royaux
dizaines
d'exceptions
près
de sources
que pour celle
est plus
l'intérêt
porté
évident
qu'il
Au moins dans les quatre-vingt
premières
années,
le cadre
que et politique
guère
tait
mort et la curiosité
prêtait
: l'esprit
de l'encyclopédiste
utile
des Indiens.
est bien
ne s'y
il
documentation
les
de correspondance
aux Amérindiens,
de notre
S'il
par les
serait
très
faible.
philosophi-
de la Renaissance n'était
1' 1 ,
pas encore
énée.