-
connu de l'histoire auxquels (cf.
amazonienne
s'adjoignirent
l'Amazonie porta
: la révolte
des esclaves
le cas des Mura,
mais aussi
des Cabanos,
noirs
et parfois
in RODp'IGUES et OLIVEIRA,
de 1825 à 1836. Le récit
pas seulement
-
308
préjudice
aux populations
aparai
tribales
de ces groupes
faire
de D. SCHOEPF précise
L'informateur
un village
wayapi
définitivement groupe vers
sur 1'Igarape
fin
à leur
Cacau,
occupation
venu sur le Kouc était le nord,
alors
que les
révolte
C'est
que Wayapi et Aparai que les
ne
brésilienne,
dans la forêt.
nement à un ou à plusieurs face.
que cette
tribalisés
ensanglanta
de colonisation
repliées
indiens
des Indiens
1977, p. S),
prouve
aux entreprises
métis
certai-
eurent
Cabanos détruisirent
affluent
de l'Ipitinga,
de la rive
occidentale
du Jari.
composé de fugitifs
repliés
sans doute
Cabanos subissaient
déjà
en soit,
les Wayapi,
d'abord
baisse
démographique
déjà
à
mettant
des revers
Le
face
aux
Brésiliens. @oiqu'il en raison
sans doute
de leur
cependant
fin
aux exactions
dernier,
vers
1832.
des "Noirs"
Pendant rent
vainement
rencontre
de fixer
et après
les b7ayapi au confluent du chef
ces évènements,
du Kouc et du Jari.
Plus
(signalé
celui
de Yawalumiti)
"sont
naires
et portent
des vêtements"
affirme que, sur le Jari -----------------------en fait
un groupe
visités
cf.
tentè-
ADAM DE BAUVE
à s'installer
en avant,il
chez visite
et par la tradition par les
Brésiliens
orale
les
Brésiliens p. 62.
fondèrent
sous
et les Mission-
(ADAM DE BAUVE, 1835, p. 90).
en 1839, les
de Wayapi.
jusqu'au
par BAGOT sous le nom de Damoucoume,
de Yaouaroupicic,
qui
mirent
Brésiliens
Ainsi
cherchant
par COUDREAUsous celui
(Ij
les
de Brésiliens
Oarapixi
entamée.
exterminant
les Wayapi au bord du Jari.
en 1832 un groupe
Tamocomes(*)
en les
démoralisés,
SOUZA, en 1873
avec les
Waygpi