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alors les
à la pagaie tournent
et attaquent
et s'enfoncent
de morts,
tombent
dans les fossés.
leurs
canots , par une crique
fini
; il
chez les Kalana
a plus
données du XVIIIe taire
siècle
qui
restent
Il
au Galibi
ceux des sauvages
"tout
ajoute
en revanche
l'inven-
le loisir
apprises".
Dans une lettre
savaient
le même langage
que les Piriu.
Enfin,
sur le fait
indique
dans une lettre que Kaikugiana
de la
qu'il
pas de la famille
les
langues
Les Karana il
écrit,
indiennes
des que j'ai
que les Karana
étant
très
s'établissait
réduits peut-être
une acculturation
parlaient
karib.
à faire
linguis-
de 1738, le Père FAUQUE insiste, et Aramakoto
s'en-
ce qui montre
je l'emploie
avec les Piriu,
au moment où le Père Jésuite
langues
le Galibi",
avoir,
de toutes
les
de 1735, le Père FAUQUE dit
en nombre et s'intermariant
tique.
qui
que je puis
et des dictionnaires
chez eux,
d'affiner
que toutes
du moyen Oyapock n'étaient
grammaires
parlent
; c'est
les
; mais en 1733, il
langues
au Brésil
des Pères GRILLET et BECHAMEL. Dans une lettre
identiques
que les
dans
une énigme culturelle,
Guyane sont
bien
et Indiens
s'enfuient
les conduit
entendre
"avec
; Blancs
survivants
de 1730, le Père LOMBARD laisse
tretient
y a une bataille,
en Guyane",
nous permettent
ethnolinguistique
Il
surtout
Les Kalana
de Kalana
Si les Karana
mais les Kalana
dans la forêt.
beaucoup
n'y
les villages,
lui,
une langue
apparentée
du XVIIIe
siècle
au Galibi. Deux cartes (AUDIFFREDY, 1763 , domaines plus
linguistiques
qu'une
valeur
de la seconde moitié
MENTELLE, 1779) nous permettent tupi de témoin,
et karib. puisque
Cette
limite
les populations
de délimiter ne représentait qui
les déjà
se trouvaient