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chronologie
comme celles
de NOBLE concernant
de la famille
arawak
permis
tion
entre
les déplacements
et la dispersion mille
(1965),ont
qu'il
arawak.
C'est
rattacher
très
les
des langues
une certaine
en est des grandes
faut
corréla-
phases
probablement
civilisations
phases
de Marajo.
C'est
cette
langue
pu être
céramiques à cette
fa-
Saladero,
Barrancas
et les
y rattache
la phase Arua,
extinction
(BLJBBERMAN, 1977, MEGGERSet EVANS, 1957, NIMUENDAJU, 1926,
p.
diverses
de montrer
d'ouest
des langues
linguistique
la formation
ayant
avec certitude
que l'on
recueillie
avant
son
195).
originaires
Les phases
plus
récentes,
du moyen Amazone,
sont
avec doute
(BUBBERMAN, 1977).
de langue
karib
Guyane n'a
pu être
sances
datée
archéologiques.
en provenance la région ethnie
du sud-ouest
des bouches
tupi,
Enfin,
avec précision
Rappelons
ne se sont
HARCOURT en 1608,entre
est
Aristé
attribuées
et Koriabo,
à des Indiens
l'entrée
de groupes
dans l'état
actuel
deux faits
de l'Amazone
les Norak,
Mazagao,
tupi
de nos connais-
pourtant
certains
: les Tupi
qu'au
XVIe siècle
dans
établis
(METRAUX, 1927) ; la présence
attestée
par KEYMIS en 1596, puis
le bas Approuague
en
et l'oyapock
(cf.
d'une
par
supra p 149 ).
2) SITUATION ETHNIQUE A L'ARRIVEE DES EUROPEENS Nous ne commençons à saisir peuplant
la région
que les
styles
qu'à
larrivée
des Européens.
de poteries
peuvent
être
Cependant,
à la différence
d'autres
régions,
le Brésil,
les Guyanes ne furent
siècle. celle
La première de FI%ER
pénétration
remontant
l'ensemble
remplacés
pénétrées attestée
le Maroni
Ce n'est
telles
qu'à
partir
de là
par des noms d'ethnies. que le Vénézuela
que tardivement dans l'intérieur
(1608).
des ethnies
ou
au XVIIe des terres
Dans la zone côtière
est
pourtant,