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monoxyle
et se contentaient
soit
à l'arc
toute
évidence
de pêcher
et à la flèche, d'une
soit
au poison.
orales,
dont le chant
soulignent
l'importance
/pilau/,
ancienne
grands
Il
"les
ruisseaux,
s'agissait
(1) , puisque
phase régressive
traditions
dans les
plusieurs
grands
de la pêche"
de
poissons",
(P. GRENAND,
1976, p. 8'8). La pêche etait blement
devenue progressivement
dès 1830, avec la dispersion
que donc une période le chant,
antérieure.
les Waygpi actuels
En effet,
le chant
dit
m3ma7E pilauluku
simbpo ipilau simopû ipilau
qui vient Le lpilauluku/, est
vivace
qui vient s'ajouter
en revanche, est
Il
dont
l'origine
fin
du XIXe siècle,
évoqué dans
et 1'Amapari.
Cela
pour le premier.
n'est
contée
lcp.5 ? 1~p.z
aux Jpilauf?
en raison
c'est
lpilaulukul
immédiatement
sur illustration.
clairement
à Pilawi,
dans un mythe.
aujourd'hui
des plus
l'adjectif
"adaptative".
gigas,
Osteoglossidae.
est resté
de nos
STRADELLI, à la du bas Rio Negro
/pirau/,
avait
sous la forme du /pirayua/ impropres
dorée,
la mère des poissons,
"caboclos"
nommée précisément
(1) Ce mot semble
reconnu
Par bonheur,
chez les
eaux amazoniennes
rouge
de ce poisson
associé
a découvert
de sa coloration
Le souvenir
pas aussi
sentation dans les ----------_------------
(2) Arapaima
évo-
aux /pilau/".
symboliquement est
le Jari
ipitô ipite
s'ajouter
roucou"
que la "mère des poissons",
substituer
entre
des Brésiliens(*).
jours.
sur le fleuve
/pilau/
pour le second et discutable
et les Wayâpi l'identifient
Le /pilau/,
Le chant
proba-
:
"poisson
le "pirarucu"
dans la forêt.
hésitent
improbable
est-ce
secondaire,
Interrogés
me semble hautement
"qui
une activité
et je préfère
sa repréou lui