-150
Cette
ethnie
des ethnies
étant
de langue
de la région
-
arawak,
vivant
on peut
penser
dans la "varzea"
D'autres
que la majorité
étaient
rattachées
populations
importantes
sur la rive
droite
de la ré-
cette
famille
linguistique.
gion,
telles
les Tapajo,
la fin
du XVIIe
siècleSn'étaient
pas non plus
tupi.
L'ensemble
de la "varzea"
du bas Amazone,
l'île
de Marajo
été contrôlé
par des groupes
autres
que tupi.
L'impression
qui
semble bien
avoir
installées
d'examiner
est que les populations
bassin
amazonien
n'ont
riveraines tir
du bas Amazone.
du Rio Madeira
du Pérou
en général
(avec
(avec
Ce n'est
que passer
que plus
puisque,
dans la région
plateaux
guyanais
nous possédons, a pu se faire
migration
amorcé leur
des Européens,
ment du fleuve
Il
une civilisation
nouvelle.
la géographie de part
du Tapajos,
étrangle
semble
la vallée
du grand
des
fleuve. que
tupi-guarani
dans le bas Amazone :
sans doute
franchirent
l'Amazone.
lié
du fleuve
et des données chronologiques
Tupi
seule
lar-
le rapprochement
migrations
vers
avoir
et d'autre
des grandes
est en revanche est bien
à par-
ou y adopter
suivante
aient
basses
vraiment
de populations
de la façon
terres
l'amont,
je pense que le mouvement des populations
ethnies
un jour.
vers
dans le
s'installèrent
particularité
une ou plusieurs
être
gravitant
que je
qu'ils
du confluent
1) Dans le courant
l'arrivée
diverses
frontière
et brésilien
Compte tenu de cette
comprise,
l'actuelle
Dans le bas Amazone, le passage
jusqu'à
linguistique
dans les
loin
les Tupinambara)jusqu!à
pour y créer
gement favorisé
d'affiliation
Tupi-Guarani
fait
les Omagua et Kokama),
dans la "varzea"
du fleuve
se dégage des sources
viens
à
le centre
du Brésil
l'archéologie à peu
à cette
près
arrivée.
du XVIe siècle,
avant
Qu'elles ou après
nous le prouvera certain
peut-
que le franchisse-