ILES D E L'AMÉRIQUE.
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sa conscience, fit u n e action plus h u m b l e que nécessaire pour obtenir l'absolution de ses péchés. Elle appela une personne de sa connaissance, et lui dit tous ses péchés, avec obligation de les confesser au premier prêtre qu'elle rencontrerait. C'étoit u n e m a r que de sa b o n n e volonté, mais après tout elle ne pourvoit par cette action obtenir la rémission de ses offenses, si elle n'étoit accompagnée d'une parfaite et amoureuse contrition.
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