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18
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11 a ajouté qu'à son établissement, où il a employé d'ordinaire une nuance supérieure, il a obtenu 5 4 mélis, 1 6 lumps, 1 0 vergeoise, 1 7 mélasse. L e m ê m e raffineur a déterminé les prix à la consommation à Paris, à 1 fr. o 5 mélis, 1 fr. lumps, 6 0 c. vergeoise, et 2 5 mélasse. Si maintenant je consulte la feuille commerciale du Havre, dont l'évaluation n'a point été contestée, et qui se trouve reproduite et adoptée par le National du 2 7 décembre, le rendement est ainsi déterminé: 4 5 mélis, 2 5 lumps, 1 0 vergeoise, 2 0 mélasse. Avec ces divers renseignemens , il m'est possible de prendre une base à l'abri de toute critique raisonnable. Voyons d'abord ces différens résultats réduits en argent. L e raffineur, avec le procédé de M . Roth (prenons les 8 0 p. 1 0 0 de raffiné pour moitié mélis et moitié lumps)
go fr. go c.
M . de Rosne
84
14
L e journal du Havre et le National.
83
o5
L e rafïineur de la province . . .
82
g5
82
15
7g
00
L a c o m m u n e des raffineries.
.
.
M . Joest (ancien système) . L e ministre du commerce. . . .
73
5o
L e m ê m e , si l'on ajoutait le prix des 3o p. 1 0 0 , mélasse
81
00
Ce rapprochement est curieux, en ce qu'il nous conduit à la preuve que le perfectionnement, qui a servi