P R É F A C E .
xvj
à cette méridienne. Enfin on trouvera dans cette prem i è r e partie le réfultat de quelques e x p é r i e n c e s , où j ' a i e m p l o y é une nouvelle m é t h o d e la dilatation des
pour
mefurer
métaux.
Quant à la feconde partie, qui regarde la mefure a g r o n o m i q u e , ou
la détermination
de
l'amplitude
d e l ' a r c , on y verra la defcription de
l'inftrument
qui a d'abord fervi à nos obfervations
communes,
Se enfuite aux miennes en particulier; fa conftruct i o n , Se la manière d e s'en fervir ; l'examen fources
d'erreur qui ont
obfervations
pu rendre nos
des
premières
défectueufes ; les précautions que j ' a i
prifes dans mes d e r n i è r e s , pour prévenir les m ê m e s inconvéniens ; toutes nos diverfes obfervations r a m e nées à la m ê m e é p o q u e , & reduites en tables fuivies de réflexions; enfin les conféquences que j ' e n tire quant à la longueur du d e g r é du M é r i d i e n . Mon
deffein
avoit été d'abord
de
me
borner
dans cette feconde partie, à la defcription & à l'ufage d e l'inftrument, à m e s T a b l e s d'obfervations
rédui-
t e s , Se aux explications néceffaires de c e s T a b l e s : je
n'avois pas
compté
m'étendre
fur
des
remar-
q u e s que je n'eftimois pas affez importantes
pour
mériter un grand détail ; perfuadé que je fuis, que tout obfervateur exact Se e x e r c é , fur-tout s'il eft inftruit par le temps
Se les réflexions fur un
particulier d'obfervation,
genre
furmonteroit les obftacles
que nous avons r e n c o n t r é s , par des m o y e n s
fem-
blables