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LETTRE 939
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A M. L'ABBÉ C A U L L E Curé du Mesnil-Saint-Firmin
Compatit à ses épreuves et l'encourage. de l'œuvre.
A besoin de le voir au sujet
Paris, 3 juin
1850.
Mon excellent Père, Je suis bien peinée de vos ennuis, mais c'est le partage de tous ceux que Dieu appelle à travailler à sa gloire. J'ai une consolation en voyant que vous vous tirez bien d'affaire ; ils sont plus embarrassés que vous. Il ne faut pas perdre courage, le bon droit est de votre côté. Comment M. Bazin entend-il acheter une maison en mon nom? Dites-lui bien que cela ne m'engage à rien. On doit nous loger convenablement ; c'est vous que cela regarde et la Société d'adoption. Je vous ai donné toute latitude nécessaire pour l'intérêt de la Congrégation dans l'œuvre des enfants qui nous sont confiés. C'est vous qui nous dirigez en réglant la comptabilité. Je ne veux pas entrer dans d'autres détails. Que je voudrais vous voir! dites-moi si vous avez le projet de venir à Paris. Avertissez-moi afin que je vous attende. J'ai lu et relu la pièce que vous m'avez envoyée, j'en ai été enchantée ; mais je voudrais vous voir, je crains que ma lettre ne se perde. Adieu, priez pour moi qui le fais pour vous.
LETTRE 940
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A LA SŒUR STANISLAS RIVOIRE, A SENLIS La Mère Fondatrice Divers renseignements. LA
ira la voir prochainement.
SAINTE VOLONTÉ DE DIEU.
Travaux à Bièvres.