— 170 — suppression de deux le diocèse d'Autun.
maisons.
Ne plus
former
de communauté
dans
P a r i s , 18 d é c e m b r e 1849.
Ma bien chère et bien-aimée fille, sœur et amie, Ne vous attristez pas; je crois que Dieu exauce vos prières. Il faut venir dans la première quinzaine de janvier; nous vous attendons avec impatience. Ne nous amenez que du bon monde qu'il ne faille pas renvoyer deux jours après leur arrivée, et puis qu'elles aient des santés convenables. Pourquoi ne me parlez-vous plus de Rully? vous ne voulez donc pas supprimer ces deux maisons dont le personnel ferait tant de bien ailleurs? Examinez bien, prenez des notes, et puis venez, nous en causerons ; nous aviserons à faire quelques chan gements afin de donner des sujets qui dédommagent du dernier envoi. Vous trouverez la lettre de Bourbon et vous y verrez ce que dit ma bonne Sœur Raphaël. Donnez-nous l'espérance que vous ne ferez plus de maisons dans le diocèse d'Autun. Conser vons le noviciat tant que Monseigneur nous laissera libres selon nos Statuts. Mille révérences à mon bon Père Rocault; souvenir à mes bonnes Sœurs Joséphine et Vincent. Adieu, toute à vous. Qu'il me tarde de vous voir !
LETTRE 844 A LA
SŒUR
e
M A R I E D E L A CROIX
BEGHIN
É c o n o m e à Bièvres
La Vénérable ira à Bièvres au mois de janvier. ses épreuves.
Elle l'encourage
dans
Paris, 20 d é c e m b r e 1849.
Ma bonne Sœur Marie de la Croix, Je profite de ma chère fille Marie-Thérèse pour vous dire que je voudrais bien vous voir, causer avec vous ; mais je suis encore