- 167 — Paris, 4 d é c e m b r e 1849.
Que j'ai de chagrin des envois que vous avez faits à Limoux ! Je vais rappeler Sœur E. qui fera tomber le pensionnat. Si je le pouvais, j'irais la chercher; je ne puis dormir depuis que je la sais là. Quelle croix, grand Dieu ! Adieu. Votre sœur.
LETTRE 840
e
A LA SOEUR STANISLAS R 1 V 0 1 R E , A SENL1S Consent à ce quelle Paris.
garde Sœur Eulalie.
LA
Envoyer
les postulantes
à
SAINTE VOLONTÉ DE DIEU. Paris, jeudi 13 d é c e m b r e 1849.
Ma bien chère fille, Je consens à ce que ma Sœur Eulalie reste près de vous, puisque cela vous donne l'espoir d'une amélioration dans l'exter nat. Ma Sœur A. restera en disponibilité jusqu'à ce que je lui trouve un gîte pour exercer son saint zèle et la rendre bonne reli gieuse. Qu'elle ne perde pas son temps ni ici-bas, ni pour l'éter nité. En revanche, envoyez-nous les postulantes; elles perdent leur temps à Senlis. Adieu, toute à vous.
LETTRE 841
e
A LA MÈRE THÉOPHILE MONTET, A ROUEN État de santé de la Vénérable. Grandes résolutions pour l'avenir. Étudier les sujets propres aux colonies. Établissement de Bièvres. Santé de Sœur Basile. Ecrire à Bourbon. LA
SAINTE VOLONTÉ DE D I E U .