Recueil des lettres de la Vénérable Anne-Marie Jahouvey. Tome cinquième

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LETTRE 809

e

A LA R. MÈRE ROSALIE JAVOUHEY, A

CLUNY

Amener avec elle Mlle Petitcoup. Au sujet d'une dette de Pondichéry. Demande des papiers pour l'approbation définitive de la Congrégation. Paris, 28 m a r s 1849.

Ma bien chère et bien-aimée fille, Je vous écris souvent pour peu de chose. Cette fois c'est pour vous dire d'amener avec vous M Petitcoup, si elle persévère dans sa résolution et que ses parents puissent faire les sacrifices nécessaires pour son départ et son trousseau... Nous avons reçu une réclamation de M. le Mât pour une dette de ma Sœur Léontine de Pondichéry. Vous devez avoir une lettre d'avis et les moyens d'y faire face ; apportez ce qui pourra nous éclairer sur cette réclamation; causez-en avec ma bonne Sœur Joséphine. On m'a dit au Ministère que les œuvres du pensionnat allaient très bien ; c'est peut-être pour ne pas payer les Sœurs. Nous causerons de tout cela, venez le plus tôt que vous pourrez. Je pense que vous pourrez partir le lundi de Pâques, afin que je puisse être avec vous huit à dix jours. Apportez les papiers qui peuvent servir à faire approuver définitivement notre chère Congrégation : règlements anciens et nouveaux; Ordonnance de Mgr l'Évêque, ses plaintes et ses compliments ; note des acquisitions que nous avons faites à Cluny et dépendances. Adieu, toute à vous. lle

LETTRE 810 A LA

SŒUR

e

STANISLAS RIVOIRE, A

La Vénérable est obligée de retarder à la patience.

SENLIS

l'entrée d'une aspirante.

L'excite

Paris, 30 m a r s 1849.

Ma bien chère et bien-aimée fille, Je vous remercie de nous avoir envoyé Joseph, il va conduire une voiture d'effets avec la balustrade et quelques malles.


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