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DE PARIS A CAYENNE
entrepreneurs d'industries interlopes, s'abaissant jusqu'à servir d'enseignes à des combinaisons qu'ils condamneraient les premiers s'ils n'en étaient pas devenus les complices, tout cela parce qu'ils n'avaient pas le courage de rester dans la simplicité qui faisait toute leur force. Tout cela est triste assurément, car si l'on ne doit que haine et mépris aux traîtres de parti pris, on ne peut voir de gaieté de cœur arriver au bord de l'abîme, par le glissant chemin des capitulations de conscience, des hommes qui pouvaient être utiles, qui pour cela n'avaient besoin que de patience.