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nom en mémoire d'un de ses compagnons, Bargylus, tué par le cheval Pégase. Après avoir successivement passé une citerne du moyen âge, puis des restes d'aquéducs, et des ruines moins déterminées, on arrive à un petit théâtre orné de grandes colonnes corinthiennes de marbre blanc. Ce théâtre se compose de douze gradins: le dessus est de 80 centimètres, leurhauteur de 40 et 17 de surplomb. On y remarque trois escaliers de dégagement o,
m
de
79 de large. Il y a deux marches par gradins. Les
premiers escaliers sont terminés par des griffes de lion; le diamètre intérieur du dernier gradin est de 1 2 , 60. Un souterrain de trois côtés rectangulaires m
était pratiqué sous le théâtre.
Au-devant
s'élevait
un portique corinthien. La base inférieure des chapiteaux est de o , 9 o . Les chapiteaux n'ont que deux m
rangs de feuilles, et la partie supérieure de la corbeille n'est pas cannelée. Près de là, grand et magnifique temple corinthien ruiné. A droite, un autre petit temple également corinthien et ruiné. Quantité de superbes colonnes sont éparses sur le sol. Un peu plus loin, grand théâtre avec les restes du proscenium.
De grandes voûtes régnaient
au-dessous comme au petit théâtre. En tournant à droite, on arrive aux
ruines d'un superbe temple
dorique. On distingue sur une partie de la frise une inscription dégradée et indéchiffrable. Non loin de ce monument, vaste fort du moyen âge, contenant des débris de divers ordres. Parmi des ruines doriques, nous distinguons une inscription mutilée et sans intérêt. Au-dessous, débris mêlés de divers édifices du moyen âge, construits avec des fragments antiques; inscrip-