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mille dangers, dans des marais peuples de crocodiles, de tigres, de boas, de serpents à sonnettes et d'insectes mal faisants, il avait encore à entretenir une correspondance active avec M. de Castries, MM. de Voyer, d'Ormai, les admi nistrateurs de la colonie, les bureaux de la marine; il fournissait des mémoires sur divers objets pour lesquels le minis tre le consultait, et prenait des notes détaillées sur l'agriculture et l'histoire naturelle de la Guyane. Tous ces travaux dénotaient une rare aptitude de travail ; mais ce n'étaient pas, selon nous, les facultés de Guisan qui le rendaient vrai ment remarquable ; ce que nous som mes heureux do signaler en lui, c'est l'exemple qu'il nous a laissé de son re-