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gnée, et nul ne se présentait pour les a i der. Le vaisseau échoué appartenait à c e lui qui avait le droit d'épave dans ces contrées. En attendant ses agents , u n e foule d'hommes accourus sur le rivage s'étaient précipités du côté du navire, n e pensant qu'au pillage; ils auraient c r u perdre leur temps en s'occupant à c o n server la vie aux malheureux qui luttaient contre les flots. Des quatre cents hommes d'équipage une vingtaine seulement furent r e c u e i l lis par M. de Kersaint. Toute l'escadre avait assisté à cette catastrophe, et la con sternation était générale. Durant trois jours on ne parla d'autre chose à bord de l'Iphigénie.
Au bout de ce t e m p s , l a
gaieté française avait repris le d e s s u s .