—196 — et il dut bon gré mal gré prendre sa
part
d'une philippique dans laquelle les a b surdes prétentions de M. de Castries, d e vouloir se passer des ingénieurs des
ponts
et chaussées, et celle de Guisan, q u i d e vait aller sur leurs brisées, étaient
trai-
tées par l'un des interlocuteurs avec
toute
la sévérité qu'elle méritait, tandis
qu'un
autre personnage exprimait l'espérance de réussir à dégoûter Guisan l u i - m ê m e de son propre travail, et de l'y faire r e noncer. Au
bout d'un moment la porte
s'ou-
vrit, et ces messieurs furent i n t r o d u i t s en présence de la commission composée de MM. Joly de Fleury, de la M i r l i è r e , intendant général des ponts et chaussées ; Perronet, premier ingénieur des
ponts
et