• D’abord véhiculé par les poètes blancs créoles, des békés qui vivent à Paris et qui ne manifestent aucun intérêt à une reconnaissance identitaire, cet exotisme sera ensuite relayé par les mulâtres qui vont vanter et chanter la beauté des femmes et de l’environnement fait de paysages paradisiaques, au mépris de la misère et des réalités quotidiennes que ces auteurs occultent.