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autant savoir

Générateur Keshe, le nouveau paradigme Dans l’indifférence générale des médias, un évènement considérable s’est pourtant déroulé en direct de Rome le 16 octobre dernier. Le physicien nucléaire iranien Mehran Keshe a présenté, devant une trentaine d’ambassadeurs qui avaient répondu à l’invitation, son générateur à énergie libre MAGRAV (énergie des champs magnétiques et gravitationnels). D’un coût modique, ce dernier tient dans une main et peut fournir de l’énergie gratuite pendant une quarantaine d’années. Deux ans après avoir communiqué ses brevets et plans aux gouvernements du monde, afin qu’ils puissent évaluer le potentiel de changement technologique, social et politique impliqué, aucun n’a entrepris d’introduire cette technologie dans son pays sous une forme ou une autre. Keshe et les membres de sa fondation ont donc décidé de passer à l’action, malgré les menaces, en accordant 10 jours aux gouvernements (à compter du 16/10) pour réagir à sa proposition de distribuer les générateurs. N’ayant pas eu de réponse au 26/10, il a communiqué la totalité de ses recherches via des web-séminaires gratuits accessibles sur le site de la Fondation Keshe. Par ailleurs, la vente et la distribution des générateurs a commencé. Plusieurs usines ont déjà produit plus d’un million d’unités en Italie, aux Philippines et en Chine… Serions-nous au seuil d’un changement majeur ? Infos sur keshefoundation.org (blog en français : fondation-keshe.blogspot.be)

Une preuve de vie… ailleurs ?

Depuis quelques années, l’équipe du télescope spatial Kepler prête une attention à un astre répondant au doux nom de KIC 8462852 et situé à 1.500 années-lumière de la Terre. Cette étoile n’a de cesse d’intriguer la communauté scientifique. Là où la lumière d’une étoile normale est généralement obstruée régulièrement (et pour de courts moments) par les passages répétitifs des planètes en gravitation, cet astre-ci émet une lumière tout à fait unique en son genre. « Nous n’avons jamais rien observé de tel. C’est très étrange. Au début, nous pensions avoir des données faussées par le mouvement du télescope, mais tout était en ordre », explique T. Boyajian, postdoctorante à Yale aux USA. Les observations confirment, en effet, qu’une large masse vient de temps en temps se mettre entre l’étoile et son observateur (Kepler). Rien de tel n’a jamais été constaté sur près de 150.000 autres étoiles étudiées. Après avoir abandonné une à une les hypothèses classiques, toutes caduques, les scientifiques planchent sur la théorie d’une structure extraterrestre qui pourrait servir à capter la lumière produite par l’astre. « Les formes de vie extraterrestres sont toujours la dernière hypothèse à considérer », confesse Jason Wright, un astronome de la Penn State University, « mais c’est une des seules qui expliqueraient vraiment les émissions observées...» L’équipe de scientifiques veut donc découvrir si des fréquences radios proviennent de la zone pour confirmer la présence d’une source technologique. Le début des observations est planifié pour janvier 2016. (Source : NASA)

32 | AGENDA PLUS - DÉC. 2015/JANV. 2016


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