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santé

Bref, au lieu d’utiliser des médicaments pour supprimer les symptômes, il faudrait utiliser des médicaments pour renforcer le système de défense de l’organisme afin que ce dernier puisse se guérir plus efficacement. A ce titre, il est donc logique de se tourner vers les remèdes homéopathiques.

Nano-doses, maxi-résultats Au lieu d’utiliser des doses fortes et puissantes de médicaments qui ont un effet à large spectre sur une grande variété d’individus ayant une maladie similaire, la médecine homéopathique utilise des doses extrêmement faibles de substances qui sont très individualisées et adaptées aux symptômes physiques et psychologiques du patient. Les médicaments homéopathiques représentent des doses tellement réduites qu’il convient de se référer à eux comme une partie du champ, nouvellement défini, de la «nanopharmacologie». Pour comprendre la nature nanopharmacologique de l’homéopathie, il est important de connaître les caractéristiques de leur fabrication.

Dilutions et succussions La plupart des médicaments homéopathiques sont obtenus par une succession de dilutions d’une teinture-mère, qui est un procédé consistant à utiliser une substance fraîche que l’on

laisse macérer plusieurs jours dans un mélange d’alcool [la concentration en principes actifs est ainsi optimale]. Le mélange, filtré et dilué, est ensuite agité vigoureusement : c’est la succussion. La solution est ensuite à nouveau diluée et ainsi de suite. Ce processus de dilution-succussion est répété 3, 6, 12, 30, 200, 1000 voire même 1.000.000 fois. La plus utilisée, la dilution par 100, est notée CH pour «Centésimal Hahnemannienne», elle correspond à 100 dilutions successives du composé. Par exemple : 12 CH = 1/1 000 000 000 000 000 000 000 000 ou 10-24 de la concentration initiale. Notons que les médicaments homéopathiques sont, non seulement, extrêmement «dilués», mais surtout extrêmement «dynamisés». D’après la théorie moléculaire de la chimie contemporaine dont les bases ont été posées par J. Dalton et A. Avogadro dans la première moitié du XIXème siècle, le nombre de molécules présentes dans quelques dizaines de grammes d’un composé chimique correspond à l’ordre de grandeur du «nombre d’Avogadro», soit environ 1023 molécules. Les valeurs de dilution de 12 CH et au-delà aboutissent statistiquement à moins d’une molécule active par dose. Dès lors, d’un point de vue chimico-matérialiste, il est impossible que le composé exerce une quelconque action dans le corps du malade puisque, par définition, aucune réaction chimique ne peut avoir lieu en l’absence de réactif.

TÉMOIGNAGE 1 A mit Goswami, Docteur en physique quantique «A 12 ans, j’étais un gamin populaire, sportif et bon à l’école, mais j’étais profondément malheureux parce que j’avais des verrues. Nous avions essayé divers agents censés les faire disparaître, mais sans résultats. Finalement, quelqu’un suggéra l’homéopathie. Je me souviens encore du médicament que j’ai pris : Thuya 30x – 4 petites granules blanches au goût sucré. Il fallait que je les suce jusqu’à ce qu’elles se dissolvent dans ma bouche. Après 2 jours, les verrues sont tout simplement tombées de mon corps une à une. J’étais guéri. J’étais soulagé. Je venais de découvrir une médecine miraculeuse, même si, à époque, je ne comprenais pas le miracle que constituait l’homéopathie dans son ensemble. Quand ils entendent ce type d’histoire, les allopathes balaient l’homéopathie de revers de la main en disant que ce n’est qu’une guérison placebo. Pourtant, de mon point de vue de physicien quantique, la compréhension que les organes physiques sont les représentations de champs morphogénétiques d’un «corps vital» qui peut être «informé» par des phénomènes de cohérence quantique, expliquent très bien les effets de l’homéopathie.» 14 | AGENDA PLUS - FÉVRIER 2015


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