2 minute read

Et si l’emballage n’était plus un déchet ?

Dans la nature, le déchet n’existe pas. Rien ne se crée, rien ne se perd : tout se transforme. Et si les emballages imitaient la nature ? Cette question anime de plus en plus les différentes industries qui emballent leurs produits. Elle anime aussi, depuis des années, les deux hautes écoles belges (Charlemagne et Albert Jacquard) pour qui les enjeux semblent de plus en plus clairs. Et leur capacité d’y répondre également. Elles ont donc décidé de former un partenariat afin de proposer une formation unique en Belgique dès septembre 2023 : « Green Packaging Design ». Elle permettra aux jeunes étudiants de travailler à la transition sous un nouvel angle avec la question-clef : et si le packaging n’était plus un déchet ? Toutes les infos sur green-pack.be

Téléchargez le guide ‘fruits et légumes de saison’ !

Greenpeace Belgique édite un guide gratuit, pratique et complet pour nous aider dans nos achats alimentaires. Au fil des mois, il recense les listes des fruits et légumes de saison, ainsi que les meilleures adresses pour se procurer des produits locaux, issus d’une agriculture biologique et/ou agroécologique en circuit court.

A télécharger ici : act.greenpeace.org/page/122758/data/1

À contre-courant de la grisaille médiatique, voici une floraison de nouvelles positives issues du monde entier. Comme notre attention nourrit ce sur quoi elle se pose, en choisissant de regarder le positif, nous alimentons le vent du changement qui souffle à l’orée des consciences...

Nettoyer les montages…

troubles mentaux et serait même – dans certains cas – plus efficace que certains soins et médicaments. La plus récente étude sur le sujet est le fait de chercheurs de l’Université d’AustralieMéridionale qui ont planché sur l’impact de la pratique d’une activité physique sur les troubles mentaux. Publiés dans le « British Journal of Sports Medicine », leurs travaux se basent sur le suivi de plus de 128.000 participants. Ils suggèrent que le sport, qu’il s’agisse de marche rapide, de fitness , de running et bien d’ autres, est bénéfique pour améliorer les symptômes de la dépression, de l’anxiété et du stress. La pratique du yoga est également à conseiller.

Luc Boisnard, alpiniste et chef d’entreprise, a créé « Himalayan Clean-Up », une association visant à dépolluer les plus hauts sommets. Avec son équipe, ils viennent de descendre 1,6 tonne de déchets plastiques du sommet Makalu, à 8.485 m ! « C’est une vraie décharge. Derrière chaque rocher, on trouve quantité de bouteilles d’oxygène, de conserves, des toiles de tente, des chaussures, c’est vraiment aberrant », déplore l’aventurier. En parallèle à cette expédition, un autre membre de l’association vient de redescendre de l’Annapurna (8.091 m). Au total, les deux hommes, accompagnés d’une dizaine de sherpas, ont déjà ramassé 3,7 tonnes de déchets, dont 45% de plastiques !

Le sport serait plus efficace que les médicaments

Les auteurs de l’étude expliquent que la pratique d’une activité physique serait 1,5 fois plus efficace que la psychothérapie ou les médicaments habituellement prescrits pour lutter contre les symptômes de la dépression. Un constat qui dépend bien évidemment de l’intensité des troubles observés, ainsi que de leur nature. D’après l’étude, les personnes souffrant de dépression, les femmes enceintes, les femmes en post-partum, les personnes en bonne santé et les personnes atteintes du VIH ou d’une maladie rénale, sont celles pour qui la pratique du sport serait le plus bénéfique.

Les études sont unanimes : la pratique d’une activité physique permettrait de lutter contre les

Quitter son travail parce que l’entreprise dans laquelle on l’exerce ne s’engage pas (assez) en faveur de l’égalité salariale ou qu’elle ne prend aucune disposition pour réduire son empreinte carbone ? Pour certains employés, notamment les jeunes, ces exigences n’ont rien d’un caprice. Elles deviennent d’ailleurs de plus en plus concrètes. Dans un récent sondage réalisé auprès de 40.000 salariés britanniques et américains par le cabinet Opinium, un tiers des salariés dit vouloir quitter son entreprise en raison de valeurs trop éloignées des leurs et près de la moitié envisagerait de le faire ! Une preuve que le phénomène commence à prendre de l’ampleur